Je suis assez mitigé sur le second opus de la Trilogie des Dieux. C'est du
Werber, toujours aussi formidablement bien écrit, ça se lit tout seul, on se laisse prendre à l'histoire. Mais d'un autre côté, je trouve que
Werber tombe assez vite dans la facilité, même si on peut estimer qu'il est parti du postulat que les « élèves dieux » ont du mal à se détacher de l'histoire de leur « terre » d'origine (« Terre 1 » dans le livre)… Je reste un peu sur ma faim quand à l'histoire de « Terre 18 », la « terre brouillon » avec laquelle les apprentis dieux apprennent leur « job » de Dieu, cette histoire manque un peu d'originalité alors que le sujet choisi par
Werber ouvrait la porte a tellement de possibilités toutes plus folles les unes que les autres. Heureusement que l'auteur nous a réservé des coups de théâtre dont il a le secret… Malgré mes quelques réserves,
Werber reste toujours aussi passionnant à lire et à dévorer…
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