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Critique de Ziliz


Après la Chatte de Colette, celle de Bernard Werber.
Elle s'appelle Bastet, elle ne connaît du monde humain que ce qu'elle observe et interprète tant bien que mal au contact de sa maîtresse, qu'elle appelle « sa servante ».
Un chat du voisinage, qui connaît « la signification du comportement des hommes », l'instruit.

Voilà quinze ans que je n'ai pas lu de roman de cet auteur. J'avais aimé la trilogie des 'Fourmis', et plus encore, 'Le père de nos pères'. J'espérais que Bernard Werber, intéressant, mais manifestement beaucoup plus scientifique que littéraire, aurait affiné sa plume. Heum...

Mêmes ingrédients et même structure ici que dans ses premiers romans : aventures d'animaux relevées de vulgarisation historique, scientifique, sociologique.
Les dialogues entre animaux sont très naïfs, voire niais, leurs péripéties pataudes, lentes et ennuyeuses. J'aime beaucoup en revanche les réflexions de l'auteur sur l'Histoire de l'humanité - en l'occurrence sur la guerre, le terrorisme, les religions - mais elles sont trop rares, hélas, diluées dans une épopée de félins mi-hommes (par leurs comportements) mi-bêtes (par leur apparence).
Et comme le jeu de deviner quel objet/action décrit le chat s'émousse, on décroche vite, a fortiori si on n'aime pas les aventures post-apocalyptiques...
J'ai survolé les 68* dernières pages pour ne garder que ce qui m'intéresse...

♪♫ https://www.youtube.com/watch?v=mcUza_wWCfA

* coucou, S. ! 😉
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