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Critique de cecille


" Un arrière - arrière grand-père est à peine un vestige dans la vie de quelqu'un, mais pas lorsque cet ancêtre a importé en Europe rien moins que quatre mille pièce précolombiennes " Gabriela, journaliste, écrivaine est a Paris en voyage professionnel et à cette occasion,elle découvre la collection de Charles Wiener au musée du quai Branly.

Ce dernier, cet ancêtre était un huaquero de renommée internationale du dix neuvième siècle.

" J'appelle huaqueros, sans euphémisme aucun, les pilleurs de sites archéologiques qui déterrent des biens culturels et artistiques et s'en servent pour faire du trafic, encore aujourd'hui. Il peut s'agir de grands intellectuels ou de mercenaires, ils peuvent emporter des trésors millénaires dans des musées d'Europe ou les installer dans les salons de leurs maisons coloniales à Lima. le mot huaquero vient du quechua huaca ou wak'a, c'est ainsi qu'on désigne dans les Andes les lieux sacrés qui aujourd'hui, pour la plupart, sont devenus des sites archéologiques ou de simples ruines."

A la mort de son père, Gabriela lit le livre qu'il lui a laissé, écrit par Charles Wiener. ET donc 150ans plus tard, elle se demande qui était cet homme à l'origine professeur d'allemand discret qui c'est pris pour Indiana Jones ? Celui qui s'est d'abord nommé Karl Wiener, juif autrichien ?

Tout au long de ce roman, sous une plume brut et crue nous découvrons autant cet huaquero que cette femme, Gabriela qui s'aime peu et se noie dans le sexe car c'est pour elle, sa "manière de résister, son pouvoir", ce qui d'une certaine façon remplace le manque.
#Portraithuaco #NetGalleyFrance
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