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Critique de Ecureuil
Décidément, j'adore Connie Willis ! Avec elle, la science-fiction n'est qu'un décor pour l'histoire. Fans de "hard" SF, passez donc votre chemin. Et pour ceux que la science-fiction rebute, pourquoi ne pas vous arrêter quelques minutes sur ces nouvelles et vous laisser prendre au jeu ?
Vous lirez ici une histoire de fin du monde qui ressemble terriblement à notre monde d'aujourd'hui, si ce n'est à quelques détails près, de-ci de-là ("Le dernier des Winnebago").
Vous vous moquerez forcément des féministes de "Même sa Majesté".
Vous frissonnerez évidemment en écoutant ce vétéran de la Première Guerre Mondiale discuter du "Rayon de Schwarzchild" avec un journaliste.
Vous rirez jaune en essayant d'étudier Shakespeare avec ce professeur d'anglais, malgré la censure du "politiquement correct" ("Ado").
Vous rirez de bon coeur devant les quiproquos et le rythme entrainant de cet hommage aux comédies américaines des années 50 qu'est "Pogrom spatial".
Vous irez au 16e siècle accueillir avec Anne Hathaway cet inconnu qui prétend être son époux, William Shakespeare ("Conte d'hiver").
Vous pleurerez sans doute devant la mélancolie de "Hasard".
Vous pourrez rire des malheurs du département de paléontologie de l'université du Colorado, voué à une disparition certaine, tout comme son propre sujet d'étude ("A la fin du Crétacé").
Vous étudierez la nature du temps et... de l'amour dans "Temps mort".
Vous vous montrerez courageux avec ces sauveteurs volontaires dans Londres, sous les bombes en 1940, en compagnie d'un curieux garçon prénommé "Rick".
Vous assisterez enfin au Congrès International de la Physique Quantique à Hollywood avec le Pr Ruth Baringer, si toutefois vous parvenez à surmonter tous les obstacles ("Au Rialto"). Il vous faudra une bonne dose d'humour pour y arriver !
Et puis, pour accompagner le tout, chaque nouvelle est introduite par l'auteur elle-même : des pages tout aussi délicieuses que le reste. Mon livre préféré, lu, relu, et relu encore, depuis plus de quinze ans maintenant.
Vous lirez ici une histoire de fin du monde qui ressemble terriblement à notre monde d'aujourd'hui, si ce n'est à quelques détails près, de-ci de-là ("Le dernier des Winnebago").
Vous vous moquerez forcément des féministes de "Même sa Majesté".
Vous frissonnerez évidemment en écoutant ce vétéran de la Première Guerre Mondiale discuter du "Rayon de Schwarzchild" avec un journaliste.
Vous rirez jaune en essayant d'étudier Shakespeare avec ce professeur d'anglais, malgré la censure du "politiquement correct" ("Ado").
Vous rirez de bon coeur devant les quiproquos et le rythme entrainant de cet hommage aux comédies américaines des années 50 qu'est "Pogrom spatial".
Vous irez au 16e siècle accueillir avec Anne Hathaway cet inconnu qui prétend être son époux, William Shakespeare ("Conte d'hiver").
Vous pleurerez sans doute devant la mélancolie de "Hasard".
Vous pourrez rire des malheurs du département de paléontologie de l'université du Colorado, voué à une disparition certaine, tout comme son propre sujet d'étude ("A la fin du Crétacé").
Vous étudierez la nature du temps et... de l'amour dans "Temps mort".
Vous vous montrerez courageux avec ces sauveteurs volontaires dans Londres, sous les bombes en 1940, en compagnie d'un curieux garçon prénommé "Rick".
Vous assisterez enfin au Congrès International de la Physique Quantique à Hollywood avec le Pr Ruth Baringer, si toutefois vous parvenez à surmonter tous les obstacles ("Au Rialto"). Il vous faudra une bonne dose d'humour pour y arriver !
Et puis, pour accompagner le tout, chaque nouvelle est introduite par l'auteur elle-même : des pages tout aussi délicieuses que le reste. Mon livre préféré, lu, relu, et relu encore, depuis plus de quinze ans maintenant.
