Winshluss frappe une nouvelle fois très fort.
J'ai tué le soleil est tout autant un récit apocalyptique et paroxystique qu'un intense cri d'amour à la narration graphique, dans laquelle il excelle. Mélangeant ici encre et crayon, et ne s'autorisant que quelques rares aquarelles,
Winshluss exhale ici toute la puissance et l'énergie qu'une mine de plomb peut exprimer, multipliant les cases et parfois les grands dessins aussi excessifs que lisibles.
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