>
Critique de photonoxx
Merci avant tout à Babelio et à XO pour ce livre obtenu via Masse Critique.
Susan est une orpheline de 14 ans. Elle a survécu miraculeusement à l'incendie qui lui a enlevé ses parents alors qu'elle n'avait que 5 ans. Aujourd'hui, elle vit toujours à l'orphelinat, ayant accumulé les familles d'accueil où se produisait toujours des désastres.
Un jour, elle voit une famille en visite au « Home » et reconnaît le parfum de sa mère. Pour Susan il s'agit d'un signe et il lui faut tout faire pour être accueillie par les Hopper.
Mais, arrivée dans le vieux manoir écossais des Hopper, des phénomènes étranges semblent survenir...
Je vais me sentir un peu seul (à la vue des autres commentaires), mais je dois bien avouer avoir été plutôt déçu par ce roman. L'histoire fantastique basée autour d'une malédiction familiale aurait, je pense, pu être menée de manière un peu plus vivante (même s'il est question de fantôme et de mort), ici, on a plus l'impression que les protagonistes sont un peu trop souvent des spectateurs impuissants, et même dans l'action, la construction de l'histoire m'a semblé un peu trop artificielle, pas assez fluide ou naturelle.
Autre déception, l'histoire est censée se dérouler en Écosse, mais, à part quelques très brèves évocations du paysage et le kilt du Grand-père Hopper, l'histoire aurait pu se passer à peu près n'importe où du moment qu'il y ait un manoir ( et encore il ne se passe pas grand-chose dans celui-ci…)
Tout n'est pas non plus à jeter et l'histoire se laisse lire malgré tout, mais je ne recommanderai pas forcément ce roman aux lecteurs avec un minimum d'exigences et de toute façon, il s'adressera plutôt à des jeunes mais pas à des ados.
Pour finir, je trouve que pour un premier tome, il est toujours agaçant de voir l'intrigue s'arrêter subitement sans même en avoir clos une partie suffisante permettant de s'arrêter là (d'autant, que je ne suis pas sûr d'avoir envie de lire le tome suivant, du coup j'ai l'impression de rester sur une introduction), alors que le récit aurait sûrement pu être dynamisé et clore une aventure dans les 400 pages du livre.
Susan est une orpheline de 14 ans. Elle a survécu miraculeusement à l'incendie qui lui a enlevé ses parents alors qu'elle n'avait que 5 ans. Aujourd'hui, elle vit toujours à l'orphelinat, ayant accumulé les familles d'accueil où se produisait toujours des désastres.
Un jour, elle voit une famille en visite au « Home » et reconnaît le parfum de sa mère. Pour Susan il s'agit d'un signe et il lui faut tout faire pour être accueillie par les Hopper.
Mais, arrivée dans le vieux manoir écossais des Hopper, des phénomènes étranges semblent survenir...
Je vais me sentir un peu seul (à la vue des autres commentaires), mais je dois bien avouer avoir été plutôt déçu par ce roman. L'histoire fantastique basée autour d'une malédiction familiale aurait, je pense, pu être menée de manière un peu plus vivante (même s'il est question de fantôme et de mort), ici, on a plus l'impression que les protagonistes sont un peu trop souvent des spectateurs impuissants, et même dans l'action, la construction de l'histoire m'a semblé un peu trop artificielle, pas assez fluide ou naturelle.
Autre déception, l'histoire est censée se dérouler en Écosse, mais, à part quelques très brèves évocations du paysage et le kilt du Grand-père Hopper, l'histoire aurait pu se passer à peu près n'importe où du moment qu'il y ait un manoir ( et encore il ne se passe pas grand-chose dans celui-ci…)
Tout n'est pas non plus à jeter et l'histoire se laisse lire malgré tout, mais je ne recommanderai pas forcément ce roman aux lecteurs avec un minimum d'exigences et de toute façon, il s'adressera plutôt à des jeunes mais pas à des ados.
Pour finir, je trouve que pour un premier tome, il est toujours agaçant de voir l'intrigue s'arrêter subitement sans même en avoir clos une partie suffisante permettant de s'arrêter là (d'autant, que je ne suis pas sûr d'avoir envie de lire le tome suivant, du coup j'ai l'impression de rester sur une introduction), alors que le récit aurait sûrement pu être dynamisé et clore une aventure dans les 400 pages du livre.
