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Critique de MinaSpirit
Bon, avec Yokai Attack ! on était mal parti, parce que je suis une pauvre âme superficielle et que cette couverture n'est pas du tout à mon goût ! Très agressive, assez old school avec des couleurs pourtant très pop, je ne savais pas trop à quoi m'attendre quant au contenu. Ni si j'étais vraiment la cible.
Par contre les monstres, c'est mon dada, et je dois avouer que mon expérience avec le folklore japonais est assez pauvre. J'ai bien le Dictionnaire des monstres japonais de Shigeru Mizuki dans lequel je pioche une histoire de temps en temps, mais ça s'arrête là. le machin présente 500 bestiaux au travers d'anecdotes certes précieuses mais aussi assez brouillonnes. Autant dire que j'avais besoin d'un complément. Et Yokai Attack fait parfaitement le job.
Chaque Yokai est décrit en 3 à 4 pages, c'est un véritable pokédex : genre, taille, poids, signe distinctif... Si un jour vous vous faites avoir au détour d'une ruelle, vous n'aurez aucune excuse ! J'ai beaucoup aimé la mise en page ainsi que les encarts "survivre à sa rencontre" (en même temps, c'était un peu l'objectif du bouquin non ? Lisez les titres jusqu'au bout !). Mais les auteurs m'ont vraiment séduite grâce à aux diverses anecdotes choisies. En particulier, toutes les informations très "modernes" qui actualise notre vision de ces (plus ou moins...) charmants petits monstres. Car c'est pour moi la principale force de ce guide de survie : si vous ne découvrirez pas forcément de nouveaux yokai (50, il y a de quoi faire, mais ça reste les plus connus), vous en ressortirez forcément avec une ou deux histoires de plus à raconter à papi René lors du prochain repas dominical pour vous faire mousser auprès de votre neveu otaku (trop précis ?). Je suis allée en vérifier quelques unes car certaines me semblaient sortir d'un délire des auteurs (la Kuchisake Onna en Lambo, j'en ris encore), mais a priori elles se tiennent !
En conclusion, un ouvrage fun plutôt destiné à la découverte que pour un public averti. Pour ma part, même si je ne suis toujours pas la plus grande fan des illustrations je me sens mieux armée, fin prête à aller faire des prank avec Kara kasa et Bura bura sans flipper à la moindre petite ombre oppressante...
Par contre les monstres, c'est mon dada, et je dois avouer que mon expérience avec le folklore japonais est assez pauvre. J'ai bien le Dictionnaire des monstres japonais de Shigeru Mizuki dans lequel je pioche une histoire de temps en temps, mais ça s'arrête là. le machin présente 500 bestiaux au travers d'anecdotes certes précieuses mais aussi assez brouillonnes. Autant dire que j'avais besoin d'un complément. Et Yokai Attack fait parfaitement le job.
Chaque Yokai est décrit en 3 à 4 pages, c'est un véritable pokédex : genre, taille, poids, signe distinctif... Si un jour vous vous faites avoir au détour d'une ruelle, vous n'aurez aucune excuse ! J'ai beaucoup aimé la mise en page ainsi que les encarts "survivre à sa rencontre" (en même temps, c'était un peu l'objectif du bouquin non ? Lisez les titres jusqu'au bout !). Mais les auteurs m'ont vraiment séduite grâce à aux diverses anecdotes choisies. En particulier, toutes les informations très "modernes" qui actualise notre vision de ces (plus ou moins...) charmants petits monstres. Car c'est pour moi la principale force de ce guide de survie : si vous ne découvrirez pas forcément de nouveaux yokai (50, il y a de quoi faire, mais ça reste les plus connus), vous en ressortirez forcément avec une ou deux histoires de plus à raconter à papi René lors du prochain repas dominical pour vous faire mousser auprès de votre neveu otaku (trop précis ?). Je suis allée en vérifier quelques unes car certaines me semblaient sortir d'un délire des auteurs (la Kuchisake Onna en Lambo, j'en ris encore), mais a priori elles se tiennent !
En conclusion, un ouvrage fun plutôt destiné à la découverte que pour un public averti. Pour ma part, même si je ne suis toujours pas la plus grande fan des illustrations je me sens mieux armée, fin prête à aller faire des prank avec Kara kasa et Bura bura sans flipper à la moindre petite ombre oppressante...
