Bagdad, la ville des 1001 Nuits, celle qui fit rêver le monde, n'est plus que délabrement et désolation. En proie à la violence des uns, le rêve a viré au cauchemar. Pourtant, là comme ailleurs, subsistent des parcelles d'humanité. Parfois bien cachées, là où on les attend le moins. Cet opuscule est apaisant comme la caresse d'une mère sur le visage de son enfant fiévreux. Hélas ! cela ne dure que le temps de 5.000 mots et le monde continue à aller mal. Alors, à quand un recueil de nouvelles de
Leila Zerhouni ?
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