L'Adoption - Cycle 1, tome 1 : Qinaya

Les bons sentiments
peuvent paver l'enfer
on le sait.
Ils peuvent aussi fleurir
des gnagnaneries.
Sur le fond ,il est évident
que c'est toute une famille
qui adopte un enfant.
Certains n'ont jamais quitté
leur département, leur canton
leur pays, et sont éloignés
des relations multiéthniques.
La peur de l'inconnu peut
générer le racisme.
Des adoptants heurtés par
une couleur de peau..
j'en ai vus..
De la maltraitance sur enfant adopté
j'en ai vu..
Mais là, Zidrou force un peu le trait.
La faute aux bons sentiments ?

Une petite fille débarque du Pérou et c'est tout le quotidien d'un vieux couple qui va s'en trouver bouleversé.

J'ai adoré cette BD, les dessins, les couleurs, l'ambiance, c'était doux et fort, émouvant et drôle, j'ai aimé ce vieux couple qui doit réadapter ce quotidien, ce côté bourru du grand-père mais qui vire guimauve face à sa petite fille et cette fin qui m'a tiré plus de larmes que je ne l'aurais cru possible. Une magnifique découverte, un vrai bijoux.

Lorsque Qinaya, une orpheline péruvienne de 4 ans, est adoptée par une famille française, c'est la vie de tous qui est chamboulée. Mais pour Gabriel, ce sera encore plus compliqué : il lui faudra apprendre à devenir grand-père, lui qui n'a jamais pris le temps d'être père. Des premiers contacts un rien distants aux moments partagés, Gabriel et Qinaya vont peu à peu nouer des liens que même le vieux bourru était loin d'imaginer.

Je ne connaissais en aucun cas cette petite série, je me suis plonger dedans en prenant en considération que cette BD allait abordé des thématiques fortes et je n'ai pas été déçu par ce premier tome !

Une BD touchante, riche en émotion qui nous parle d'amour autre qu'avec les liens du sangs. Des thèmes super touchants et qui sont hyper bien abordés à travers les dessins mais aussi la plume dans cet ouvrage.

Hâte découvrir la suite de cette belle histoire.

Cette bande dessinée m'a beaucoup plu. Les dessins sont très agréables à regarder. J'ai aimé aussi l'histoire entre cette petite fille et ce vieux grand-père bourru. La fin de cette Bd m'a laissé sur ma faim et je suis contente d'avoir pu lire le Tome 2.

Zidrou nous livre une bande dessinée pleine de tendresse dans cette rencontre entre un grand-père un peu bourru et sa petite-fille tout juste arrivée du Pérou où elle a été adoptée.
Une belle rencontre pleine de promesses. Une belle histoire d'adoption qui prend en compte aussi les grands-parents !

Peu de bandes dessinées nous parlent avec autant de facilité que L'adoption. J'ai commencé à lire cette "recommandation des libraires" sur un coin de table, et j'étais incapable de partir sans l'avoir lue en entier et/ou achetée ! Cette bande dessinée est à la fois tendre, drôle, touchante et vraie. Les personnages sont accessibles, le dessin élégant et l'histoire bouleversante.

Le personnage principal est un grand-père bougon, peu enthousiaste à l'arrivée dans sa famille de la petite Qinaya, adoptée par son fils. le récit débute pile à cet instant où la petite histoire va rencontrer la grande : on entend qu'il y a un tsunami à l'autre bout du monde, l'empathie nous prend quelques instants devant ces images terribles, puis on se passe le sel, on change de sujet, on oublie. Et chacun peut s'identifier facilement à ce couple qui regarde la télévision à l'heure du repas et pourrait oublier le contenu du JT en quelques secondes. Une scène quotidienne, qui ici a son importance car la famille dont Qinaya est originaire a été décimée par l'une de ces catastrophes. Et tout à coup, cette information devient un élément réel, elle envahit le quotidien, à travers les cauchemars d'une petite fille.

Bien sûr, les liens qui se nouent avec le temps entre ces deux personnages que tout pourrait opposée est attendue et évidente, mais néanmoins attendrissante. Les personnages secondaires ne sont pas oubliés : chacun a son caractère et son histoire, juste assez cliché pour qu'on les comprennent rapidement, mais avec une touche de réel, de ressenti à travers des dialogues sympathiques et justes. Rien ne semble négligé pour créer un récit fin, qui nous laisse d'ailleurs sur notre faim... Vivement la suite !

A la suite d'un tremblement de terre au Pérou, un couple de quinquagénaires français adopte une fillette péruvienne de quatre ans. ● Tout est lisse, bien léché et sans surprise dans cet album ennuyeux dont le seul rebondissement se trouve à la fin, pour faire acheter le tome 2 (ce que je ne ferai pas).

J'ai le coeur chamallow en refermant "Qinaya", premier tome de "L'Adoption", petite merveille graphique signée Zidrou et Monin, et je crois que j'ai même un peu envie de pleurer, de tendresse et de tristesse. Drôle de cocktail.

C'est étrange de penser que parfois les pires tragédies sont à l'origine des plus grands bonheurs, que ce qui se joue parfois à des milliers de kilomètres agit tout près de nos vies... C'est pas ça l'effet papillon?

Arequipa, Pérou. La terre tremble sous les coups d'un séisme de magnitude 8,4. Autant dire que pour les habitants, c'est leur monde qui se fracasse et s'écroule. Ce sont des maisons en miettes, des vies brisées qui éclatent en mille morceaux et tout à reconstruire. Des familles disloquées, des parents portés disparus, des enfants perdus.
Cette fin du monde offre pourtant à un couple de quadragénaire en mal d'enfant la possibilité, le bonheur d'être enfin parents.
C'est ainsi qu'un beau jour d'avril, Alain et Lynette rentrent du Pérou avec la petite Qinaya, petit bout d'à peine quatre ans, laissée orpheline par le séisme. La famille au grand complet est réunie pour les accueillir et rencontrer la fillette. Rayon de soleil au teint caramel étourdie de tout cet amour qui soudain lui tombe dessus. C'est que tout le monde est aux anges ou presque.
Gabriel, lui, n'est pas convaincue par cette adoption. Il trouve son fils bien trop vieux pour devenir père et puis cette gamine... bof... le vieux grincheux voit avec angoisse son épouse se réjouir de pouponner à nouveau. Les enfants, les couches culottes et les bains, très peu pour lui! Gabriel aime sa routine: faire un peu de sport avec les Gégés avant d'aller manger au Sénégal, faire son jardin, passer du temps avec sa femme. Pas question de changer quoi que ce soit à cette paisible retraite. Non mais!
Pourtant, au fil des jours, le grand-père et sa nouvelle petite-fille s'apprivoisent, s'attachent comme le renard et la rose, comme le Vieil Homme et l'Enfant, comme Heidi et son grand-père.
Qinaya devient indispensable au bonheur de ce bougon qui n'a pas su être un père présent pour ses propres enfants et qui semble vouloir rattraper le temps perdu avec la petite fille qui a fait fondre ses préventions de capitaine Haddock.

Le récit est beau, délicat et extrêmement touchant. Sa grande justesse et sa drôlerie (merci aux Gégés qui m'ont tant fait penser aux "Vieux Fourneaux"!) l'empêchent de sombrer dans la mièvrerie, tout comme ses graphismes délicats mais pleins de vie et colorés de teintes vives, franches.

"Qinaya" est une oasis de douceur jusqu'à sa chute. Orage et douche écossaise. Il pleut, il tempête sur l'oasis et ça fait mal. Comme les rêves qui deviennent cauchemars, comme le réel qui n'est jamais aussi beau qu'on le voudrait.
Moi, cette fin m'a rendue tellement triste. Et tout cet amour, on en fait quoi après?

Je me replonge, non sans un serrement de coeur, dans cette bande dessinée qui m'avait tellement ému lors de ma première lecture. La magie opère toujours autant.

Accompagnant les superbes dessins et couleurs d'Arno Monin, Zidrou nous emmène à la rencontre de Qinaya. Qinaya, jeune orpheline péruvienne, est adoptée par un couple français n'arrivant pas à concevoir d'enfant. Elle se retrouve dans un monde sans aucun repère. Mais le grand-père Gabriel ne voit pas cette adoption d'un très bon oeil. Mais comme on s'y attend, ils vont finir par s'apprivoiser.
Même si il y a prescription pour le spoil, je ne vais pas aller plus loin dans mon résumé.

Bon... cette bande dessinée m'a énormément touché. Elle aborde de nombreux sujets même si le principal est l'amour. C'est beau, c'est tendre, c'est triste et ça m'arrache des larmes à travers les sourires. J'en suis sûrement davantage sensible connaissant l'histoire.

On ne résiste pas à ce duo !

Ce livre traite de plusieurs beau sujets:l'adoption, la fertilité, apprendre à être grand parents ou parents.
Cependant le livre ne pas plus passionné que ça
Les dessins ainsi que l'histoire de Quinaya et de sa famille était bien trouvée. Bravo à Zidrou et Monin !