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Critique de Lindenbroock


Les talents d'écriture de Michel Zink, par ailleurs médiéviste reconnu, ne sont plus à faire. Nous pouvons cependant nous interroger sur la finalité de ce dernier roman. Certes, l'auteur a voulu se distraire, à défaut de nous amuser, en mêlant la vérité historique et la fantaisie romanesque. Malheureusement, n'est pas Maurice Leblanc qui veut et, passé le premier enthousiasme de découvrir le nom d'Arsène Lupin sur la couverture, il faut avouer que la chimie ne prend pas. le flamboyant Arsène n'est plus qu'une pâle copie de son original et manque singulièrement de présence. Quant au professeur d'Arsonval, personnage réel cette fois, Michel Zink se montre peu flatteur avec lui. C'est sans vergogne qu'il détourne ses talents de conférencier et d'inventeur pour les attribuer à Lupin. Reste une intrigue cousue de fil blanc qui tient plutôt de l'exercice de style.
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