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Critique de CDIEiffel


De l'ami à l'amant tragique


Zola, chef du fils naturaliste, n'en n'est pas a son premier roman lorsqu'il écrit « Thérèse Raquin », mais à son troisième en 1867.

Au passage du Pont-Neuf une sorte de long corridor étroit et sombre la ou personne ne s'attarde. A gauche, sur toute la longueur du passage se creusent des boutiques obscures, dont la Mercerie des Raquin. Dans cette boutique habitaient Madame Raquin qui avait dépassé la soixantaine, une ancienne mercière de Vermon qui vivaient avec son fils. Camille avait vingt ans, fragilisé par de nombreuses maladies qui on faillit lui coûter la vie.

Ils vivaient aussi avec eux sa cousine Thérèse, Elle avait été confié sa tante à sa naissance, cette dernière avait décidé quelques années auparavant qu'il se marierai à la majorité de Thérèse.

La famille Raquin menaient une vie monotone sans grand bouleversement jusqu'à ce que Camille retrouva un ami d'enfance prénommé Laurent, un homme paresseux, qui sèmera plus tard le chaos dans leur vie sans intérêt.

Pour fêter leurs retrouvailles, Camille L invita à dîner, au court de se dîner Laurent nous fait par d'événement qui ont marqué sa vie, notamment sa passion pour la peinture, et son talent pour réaliser les portraits de femmes nues. Pour revenir plus souvent chez les Raquin Laurent proposa l'idée qu'il devait réaliser le portrait de Camille, quant à Thérèse, elle demeura pâle et silencieuse toute au long de la soirée.

Pour réaliser son portrait Laurent venait chaque soir, et se mettait à peindre sous le regard ébahi de Thérèse qui l'étourdissait car c'était la première fois de sa vie qu'elle voyait un « vrai homme ».
Laurent qui n'était pas indifférent au charme de Thérèse commençait à se demander si cette dernière ne pourrait devenir son amante « une petite femme (…) qui sera ma maîtresse ».
Thérèse ne résista pas longtemps et succomba à ces avances, ils deviennent donc les amants maudit de la mercerie.
Ses amants maudits se voyaient dans la chambre à couché du couple, il ne prenait pas forcement de précaution car les Raquin ne s'apercevaient de rien.
Tout se passait plutôt bien jusqu'à ce que Camille devienne un obstacle à vivre leur histoire. Pour remédier à cela, ils décidèrent de se débarrasser de lui de façon si ignoble et épouvantable qu'ils en feront des cauchemars jusqu'à la fin...

Ce livre m'a plus car il a été écrit par un auteur que j'affectionne particulièrement, pour la manière qu'il a de nous d'écrire se qu'il voit avec une extrême précision et la façon qu'il nous fais pénétré dans le roman.
Je penses que je pourrais qualifier se livre de surprenant, épouvantable, peut être même effrayant ou écoeurant suite aux détaille sordide de certains passage, je n'imaginais pas les personnages capable de commettre ces actes ignoble.
Je ce recommande livre pour ceux qui aiment le 19éme siècle, le naturalisme, et les histoire d'amour.
C'est un roman qui se dévore, et nous captive.
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