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Critique de pixton
"Sombre", "jaunâtres", "usées", "descellées", "noir de crasse", "sales", "misérablement", "vilains", "salie et ignoble".
Champ lexical du premier paragraphe de Thérèse Raquin. On se demande pourquoi j'adore Zola ! Moi et les lectures feel good, ça fait deux. Il en faut pour tous les goûts, parait-il.
Je suis très content de n'avoir rien su de l'histoire avant de l'avoir lu, car ça m'aurait un peu gâché le plaisir.
Un peu seulement, car le style de Zola se savoure comme un vieux Bordeaux. C'est du plaisir à chaque page, chaque ligne.
Le naturalisme au service de la noirceur la plus extrême.
Émile Zola redéfinissait le hardcore avant que celui-ci ne voie le jour.
Je me le dis et me le répète à chaque nouveau roman de cet auteur que je lis : les personnages des romans de Zola et ce qu'ils s'infligent (car ils sont souvent les responsables de leur propre déchéance) nous offrent un spectacle bien plus éprouvant que n'importe quel titre de la collection Gore.
Ce n'est pas mon préféré (L'Assommoir me hante encore), certains passages se répètent, mais c'est une fois de plus une claque monumentale. Zola vous emmène en enfer à chacun de ses livres, et on y plonge avec bonheur (des dames).
Champ lexical du premier paragraphe de Thérèse Raquin. On se demande pourquoi j'adore Zola ! Moi et les lectures feel good, ça fait deux. Il en faut pour tous les goûts, parait-il.
Je suis très content de n'avoir rien su de l'histoire avant de l'avoir lu, car ça m'aurait un peu gâché le plaisir.
Un peu seulement, car le style de Zola se savoure comme un vieux Bordeaux. C'est du plaisir à chaque page, chaque ligne.
Le naturalisme au service de la noirceur la plus extrême.
Émile Zola redéfinissait le hardcore avant que celui-ci ne voie le jour.
Je me le dis et me le répète à chaque nouveau roman de cet auteur que je lis : les personnages des romans de Zola et ce qu'ils s'infligent (car ils sont souvent les responsables de leur propre déchéance) nous offrent un spectacle bien plus éprouvant que n'importe quel titre de la collection Gore.
Ce n'est pas mon préféré (L'Assommoir me hante encore), certains passages se répètent, mais c'est une fois de plus une claque monumentale. Zola vous emmène en enfer à chacun de ses livres, et on y plonge avec bonheur (des dames).
