Dans un style plaisant, Zorilla a essayé de retranscrire un
Don Juan facétieux, volontiers joueur, et a doublé le couple maître libertin/valet pour créer une émulation entre deux séducteurs... Cette structure ne s'avère pas très heureuse car
Don Juan (comme il l'est par exemple dans celui de
Molière) ne paraît plus seul contre le monde, cette proximité dans la débauche avec d'autres protagonistes lui faisant perdre le côté donquichottesque qu'il peut avoir dans d'autres versions. Ne détrône pas les
Don Juans de
Molière et
De Montherlant.
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http://antoastu.com/don-juan.. Commenter  J’apprécie         30