La confusion des sentiments a bien confusé les miens. J'avais été séduite par la manière de raconter de Zweig avec Le joueur d'échecs, et Vingt-quatre heures de la vie d'une femme me fait de l'oeil depuis un moment.
Ca a été un peu différent avec La confusion des sentiments car l'envolée lyrique de l'auteur (enfin de son narrateur) pour son professeur a été assez pénible. Il en fait l'éloge pendant pratiquement la moitié du livre. Il était temps que ça se termine, et j'ai mieux apprécié la seconde partie, qui consiste en une révélation qui ne devait pas être facile à l'époque. On comprend la malaise du professeur, de sa femme et de l'étudiant (dis comme ça, on dirait que je parle de l'empereur, sa femme et le petit prince).
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