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Critique de Shel
Roland, jeune homme élevé dans un milieu petit-bourgeois protestant, se jette avec frénésie dans la vie de bohème berlinoise, découvrant que "les femelles" apprécient fortement son côté viril et son joli minois.
Puis, passant d'un extrême à l'autre, il change de mode de vie et décide de partir étudier dans une petite université du centre du pays dans laquelle il deviendra proche de son directeur d'étude.
194 pages dans lesquelles on lit l'Amour des Lettres et de l'Esprit, l'admiration et la vénération de l'élève pour le maître.
Quelle audace pour l'époque ! le thème choisi par Stefan Zweig est résolument moderne.
Ce fut une belle lecture ! Merci à Marine Alata et aux éditions Robert Laffont (collection Pavillons poche, nouvelle traduction de Tatjana Marwinski) pour cette découverte.
Puis, passant d'un extrême à l'autre, il change de mode de vie et décide de partir étudier dans une petite université du centre du pays dans laquelle il deviendra proche de son directeur d'étude.
194 pages dans lesquelles on lit l'Amour des Lettres et de l'Esprit, l'admiration et la vénération de l'élève pour le maître.
Quelle audace pour l'époque ! le thème choisi par Stefan Zweig est résolument moderne.
Ce fut une belle lecture ! Merci à Marine Alata et aux éditions Robert Laffont (collection Pavillons poche, nouvelle traduction de Tatjana Marwinski) pour cette découverte.
