On retrouve encore une fois le magicien S.Zweig. Il nous envoûte pour nous garder dans un univers apparemment clos, si bien que nous ne pouvons plus lâcher le livre avant la dernière page. Ici, nous sommes bloqués sur un paquebot, dans lequel les personnages vont limiter leur horizon aux 64 cases d'un jeu d'échec, pour finalement entrer dans l'esprit d'un personnage mystérieux, qui a lui-même été enfermé pendant des semaines dans une pièce sans autre contacts que les membres de la Gestapo qui l'interrogent.
On retrouve également la magie de son style, brillamment traduit par Brigitte Vergne-Cain et Gérard Rudent.
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