Lire un roman de
Stefan Zweig c'est un remède puissant à la morosité et à la médiocrité.
Savoir le savourer,
ne pas le dévorer trop vite,
laisser quelques pages en suspens pour écouter le temps s'écouler en vagues grandioses.
Et puis c'est aussi chercher comme dans un film de
Hitchcock, l'apparition magique, celle du maitre comme un clin d'oeil à la caméra, celle de la profondeur de l'âme jusqu'à s'y perdre et se noyer.
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