Avouez-le monsieur Zweig, vous en pinciez pour
Marie-Antoinette.
J'affabule légèrement mais lisant, admiration et respect tissent sous la plume de l'auteur un élan affectif évident envers la Reine.
Ce sentiment était-il antérieur à la biographie, l'a-t-il suscitée, s'est-il imposé progressivement en compulsant les sources?
Le texte en tout cas est passionnant car, outre la destinée dramatique de
Marie-Antoinette, c'est la révolution qui nous est ici contée.
Avec un aspect qui m'avait jusqu'ici échappé, les responsabilités et les collusions d'une partie de la noblesse et de la famille royale favorable à la chute de
Louis XVI.
Excellente lecture.
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