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Critique de CasusBelli


A l'instar de l'empereur s'adressant à Mozart dans Amadeus pour lui reprocher le "trop de notes", je reprocherais à Sweig le "trop de mots" qui donne une nette impression de redondance à ces trois biographies, surtout concernant la partie consacrée à Dostoïevski.
Si j'ose cette comparaison c'est que je reconnais volontiers ne pas avoir suffisamment de "lettres" pour avoir su apprécier à sa juste valeur cette lecture.
Et pourtant j'ai apprécié de découvrir Balzac et Dickens que j'avoue n'avoir pas lu, beaucoup de mots dans un style du siècle dernier, je me suis accroché, j'ai relu certains passages deux ou trois fois et j'ai été captivé par moment.
En abordant Dostoïevski (Dont j'ai lu et apprécié quelques livres), je me suis dit que cela allait être plus facile et paradoxalement non, ça a été assez pénible, trop de mots, trop de répétitions, pour le coup je me suis identifié à Dostoïevski que Zweig dépeint comme un être torturé :)
A l'arrivée j'ai quand même l'impression de m'être instruit, mais il m'aura manqué le plaisir que j'espérais en retirer en lisant un auteur que j'avais toujours apprécié jusque là...
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