Je découvre
Cizia Zykë avec
ORO.
On m'a conseillé ce livre d'aventures, comme étant celui d'un des derniers "vrais aventuriers".
Je me procure le livre, ainsi que
Sahara, les deux d'occasion pour le prix d'un : Je suis très content.
La lecture se déroule bien, j'apprécie le bonhomme, un bourrin, assez dur, avec son flingue et sa volonté de gagner du fric.
Il en bave, la malaria et les problèmes s'enchainent, attirant d'autant plus ma sympathie envers ce barjot qui évolue dans une adversité permanente.
Et là premier écueil pour moi dans la lecture, qui ne va cesser de se confirmer.
Le personnage principal, au delà de déconsidérer les animaux, les femmes, et les ticos (les indigènes), se révèle d'un sadisme qui s'accentue au fil des pages. S'accommodant à la rigolade d'un de ses employés qui tombe amoureux d'une jument que tous les ticos semblent enculer allègrement au campement.
Passons la dessus, quelques pages plus loin, l'auteur nous expose sa satisfaction, quant, une famille du coin, lui offre leur jeune fille, à peine adolescente, auréolée d'une blanche innocence et qui nous explique finalement qu'elle aura peu dormi cette nuit là...
Je ne parle même pas du fait qu'il ai également réduit sa compagne dans l'oeuvre en esclave sexuelle.
J'ai terminé le livre.
J'ai ramassé le bouquin, ainsi que
Sahara que je n'ai même pas ouvert, et direction poubelle pour ces deux torchons. C'est une première pour moi qui ai un infini respect pour les livres.
C'est ce qui devrait être fait pour tous les pédophiles et autres esclavagistes comme
Cizia Zyke.