Les revenants de la mémoire, les fantômes de l'oubli, les errances de la culpabilité, dans une prose à l'agencement précieux Victor del Árbol s'amuse de leurs subtiles similitudes.
Par-delà la pluie joue sur les codes du polar, en suspens l'intrigue dans un patient dévoilement de l'intime, expose un épisode de l'histoire méconnue, et s'amuse des retournements et autres dénouements plus tragiques que rocambolesques.
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