Le tome 6 La belle et les bêtes clôture les aventures de Garulfo. Le récit continue de faire des clins d'oeil aux contes traditionnels tels que Le petit Poucet ou La belle au bois dormant.



J'ai trouvé qu'il y avait un peu plus d'action dans ce tome, sans doute pour la nécessité de parvenir au dénouement final. Ce n'est pas mon préféré parmi les six, mais j'ai tout de même adoré.



C'est à la fois drôle, tendre, intriguant et féerique. Cela mêle fantasy, histoire d'amour et conte philosophique. Un délice. Je vais avoir du mal à trouver une prochaine lecture qui me permette de m'évader autant.

Dans les albums de Garulfo, on trouve de multiples références aux contes traditionnels. Dans le cinquième tome, l'amitié entre Héphylie et l'ogre ainsi que l'animosité des chevaliers envers celui-ci, m'ont particulièrement fait penser à l'histoire de La belle et la bête.



Dans le même temps, Garulfo et Romuald nous emmènent dans l'ambiance des tournois médiévaux. La foule s'enthousiasme pour ce grand spectacle tandis que Garulfo ne parvient pas à comprendre que l'on puisse prendre du plaisir dans un jeu aussi violent. À nouveau les divergences de caractères entre Garulfo et Romuald font sourire. J'ai trouvé les dialogues et l'enchaînement des évènements très distrayants.



Je suis toujours autant séduite par l'histoire. Il faut dire que je me suis véritablement attachée aux personnages.

Après avoir suivi un mystérieux lutin, la belle Héphylie se retrouve dans le château d'un ogre. La princesse court un grave danger. Le chevalier Huon parviendra-t-il à la sauver de l'effroyable créature ?



Pendant ce temps, Garulfo et Romuald apprennent progressivement à s'apprivoiser. Mais c'est encore loin d'être gagné ! Tous deux ont des conceptions très différentes de la vie. J'ai aimé les réflexions philosophiques de Garulfo et l'humour de cet album. Le personnage de Romuald m'a fait beaucoup rire.



Comme dans les tomes précédents, on retrouve des personnages expressifs et des dialogues recherchés. Au milieu des lutins, des ogres, des chevaliers et des princesses, on ne s'ennuie pas une minute et l'on a bien envie de connaître la suite de cette incroyable histoire !

Le deuxième tome s'achève avec une fin digne d'un conte de fées traditionnel et je me demandais ce qui allait donner l'impulsion à la suite de l'histoire.



Dans ce troisième tome, nous découvrons le personnage du prince Romuald depuis sa plus tendre enfance. Le passage des fées sur le berceau m'a fait beaucoup rire. Et puis, la troisième fée est (à défaut d'avoir trouvé mieux dans le royaume) une sorcière. Celle-ci ne nous est pas inconnue et le vœu qu'elle prononce va avoir des conséquences non négligeables sur la suite.



Quelques années plus tard, le trop gâté prince Romuald est devenu un jeune homme odieux et vaniteux. C'est là que les deux histoires se rejoignent et que nous retrouvons Garulfo. Je n'en raconte pas davantage pour ne pas divulguer l'intrigue.



J'ai adoré. J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce troisième tome qui s'inscrit dans la lignée des précédents. Texte et dessins de qualité. Une bande dessinée à savourer.

Je me suis vraiment régalée avec cette lecture de la suite des aventures de la grenouille Garulfo. J'ai d'ailleurs relu le premier tome juste avant afin de me replonger pleinement dans l'histoire.



Garulfo, transformé en prince, est menacé de tous les côtés. Naïf et attachant, il continue malgré tout à croire en la bonté de l'Homme. Le récit a des allures de conte philosophique.



Mais c'est aussi très drôle. Il est assez rare que je rie en lisant un livre. J'ai passé un excellent moment. Les répliques, les situations, les personnages... Tout est extrêmement bien ficelé. Plusieurs événements inattendus sont parvenus à me surprendre. Le scénario est bien construit et évite la facilité dans laquelle l'auteur aurait pu tomber.



La qualité du texte est remarquable. Les dessins plongent parfaitement le lecteur dans cet univers de conte, de fantasy.



Les personnages secondaires sont tout aussi intéressants, j'aime la "princesse" Pipa et le pourfendeur de dragons par exemple.



C'est original et très drôle même s'il y a aussi un passage très triste et inattendu avec la mort de l'adorable Fulbert . Je vous conseille absolument cette série.

Gros coup de cœur pour cet album. Tout d’abord, la page couverture est très jolie et de plus, les auteurs nous offrent une vraie fin. Une finale conte de fée.

Au fil des pages, une histoire rocambolesque qui ne cesse de m’étonner. Le mélange des genres et des contes populaires en a fait une bande dessinée burlesque qui se tient, amusante et satirique à souhait.



Le tournoi a enfin lieu avec peu de combattants, la plupart étant partis affronter l’ogre. Le combat se termine de façon chevaleresque avec le chevalier noir qui dévoile ses sentiments. Pendant ce temps, la princesse se sauve pour donner un coup de main à son ami l’ogre.



Romuald/Garulfo devront une dernière fois faire équipe pour libérer la princesse des mains de l’ogre qui a un accès de folie.

Avec Poucet et un Romuald en feu, l’équipée développe des trésors d’imagination pour pénétrer dans le château dévasté de l’ogre.

Lorsque chacun retrouve sa forme, un mauvais coup de sort fait chuter la princesse….



Cette sublime série se termine comme dans tout conte de fée qui se respecte : ils vécurent heureux et eurent de beaucoup, beaucoup d’enfants. L’amour existe encore!… que l’on soit grenouille ou prince…

BLË BLË BLË

Où la quête d’un baiser peut nous mener?

Garulfo et Romuald vont devoir user du génie de leur deux caractères dissemblables pour arracher ce baiser à la princesse Héphylie. Ce fameux baiser qui rendra à chacun sa forme originale.



Après une chute vertigineuse Romuald/Garulfo se cachent de la garde royale et donnent un rendez-vous à la princesse, qui se révèle peu fructueux. Cours toujours ma grenouille!

Ils doivent donc élaborer une stratégie avec Poucet le petit pour gagner le tournoi, la seule façon d’obtenir le fameux baiser.

Pendant ce temps, les chevaliers se rendent au château de l’ogre pour lui régler son compte. Ils veulent venger le chevalier Huon qui a tenté de l’affronter précédemment. Il y aura de l’action dans cette attaque.

SUS À LA BÊTE! À MORT L’OGRE!

Ce si gentil gros toutou devra affronter les chevaliers ainsi que la population et rétablir sa crédibilité.



Ce tome est plus calme en mots d’humour mais tellement plus dynamique. On commence à voir un changement dans la personnalité de Romuald, il prend toujours des initiatives mais de façon moins baveuse. Son caractère se modèle lentement au contact de Garulfo.

Comme j’ai trop hâte de savoir la suite, je me plonge immédiatement dans le tome 6 malgré ma tristesse de voir la fin de ce conte au bois dormant.

Pendant que Garulfo-prince et son insupportable compagnon, Romuald-grenouille cheminent vers le château de Lambrusquet, la princesse Héphylie passe du bon temps dans la maison d’un ogre. Ils faut les voir s’amuser comme des petits enfants après les premières frayeurs d’une rencontre improbable. C’est un côté tendresse de cet album qui m’a beaucoup plu, la version Belle et la Bête des contes de fée. Avec un ogre qui ne mange pas n’importe quoi…surtout pas des femmes et des enfants!

Le dessin et les couleurs sont encore plus raffinés et mieux définis. Le message est toujours plus drôle et le contraste plus évident entre le gentil et sensible Garulfo dans une condition humaine et le méchant Romuald en batracien démuni. C’est trop rigolo de voir Garulfo préparer un plat d’insectes à Romuald et lui apprendre à manger pour éviter qu’il ne meurt de faim.

Cette bande dessinée est exquise, je me délecte des propos des deux compères. Et comme mes amis me semblent en mauvaise posture dans la dernière planche, je file en vitesse vers le tome 5 pour leur apporter mon soutien moral!