J'ai bien aimé mais il y a pas mal de points qui m'ont dérangés.



Le style de narration m'a empêché de plonger dans l'aventure avec griffont tout du long de ma lecture j'ai eu comme l'impression de ne pas arriver à rentrer dedans . L'omniscient sans être présent dans le récit m'a vraiment dérangé.



Il y a beaucoup de longueur de description mais pour le côté magie bof .... Je m'attendais à mieux au vu de la 4eme couverture .



J'en ressort mitigé ça fait un pensé a du Conan Doyle .

je dois dire que j'ai plus apprécié ce tome que le premier. On connaît déjà les personnages et les remontées dans le temps permettent de mieux les connaître.

On retrouve Louis Griffont et la baronne de Saint Gil mêlés à une histoire politique entre L'outremonde et la terre qui remonte à la guerre entre les fées et les dragons. Cette histoire nous permet également de rencontrer d'autres personnages historiques, de comprendre la création des cercles de mages et d'explorer ce Paris des merveilles.

La relation entre la baronne et Griffont apporte une dose d'humour et de légèreté dans ce tome. l'intrigue est bien menée et je n'avais pas vu venir les révélations finales.

J'ai hâte de découvrir ce que nous réserve le dernier tome.

Voilà, je viens de finir les enchantements d’Ambremer, et au moment d’écrire mon billet sur ce livre je suis bien embêtée.

Cette lecture avait tout pour me plaire : un univers steampunk, le Paris de la belle Epoque, mêlé à un univers parallèle, l’OutreMonde, peuplé de fées, dragons, magiciens, licornes, et autres gnomes. Dans ce Paris revisité, l’auteur nous invite : « Imaginez des nuées d'oiseaux multicolores nichées parmi les gargouilles de Notre-Dame ; imaginez que, sur les Champs-Elysées, le feuillage des arbres diffuse à la nuit une douce lumière mordorée ; imaginez des sirènes dans la Seine (…) ; imaginez des saules rieurs qui s'esclaffent ; imaginez des chats ailés, un rien pédants, discutant philosophie ; imaginez le bois de Vincennes peuplé de farfadets sous les dolmens ; (...) imaginez la Tour Eiffel bâtie dans un bois blanc qui chante à la lune ; imaginez de minuscules dragons bigarrés chassant les insectes au ras des pelouses du Luxembourg et happant au vol les cristaux de soufre que leur jettent les enfants ; imaginez des chênes centenaires, et sages, et bavards ; imaginez une licorne dans le parc des Buttes-Chaumont ; imaginez la Reine des Fées allant à l'opéra dans une Rolls-Royce Silver Gost ; imaginez... »

On croise même le commissaire Valentin et Pujol (oui, oui, les Brigade du Tigre!!!) un rêve je vous dis.

Seulement voilà, même si j’ai aimé l’ambiance, je n’ai pas été sous le charme de la plume de l’auteur, sans que je puisse m’expliquer vraiment pourquoi, j’ai trouvé les gentils vraiment trop braves et magnifiques et les méchants trop méchants, l’intrigue s’est déroulée sans réelle surprise, et je crains d’oublier bien vite cette charmante histoire. A mon grand regret.



Challenge des 50 objets 2024-2025

Dans ce deuxième tome du Paris des Merveilles nous retrouvons Louis Griffont, son acolyte Azincourt et bien entendu Isabel de Saint Gil qui, bien qu'en disgrâce a Ambremer, s'est vue confiée une mission secrète de la part de la reine Méliane.

Griffont est chargé par Merlin lui-même d'enquêter sur une étrange affaire de meurtre, celui de l'antiquaire somme toute sans grand intérêt mais apparemment lié a un mage noir bien connu: Giacomo Nero.



Pour mon plus grand plaisir, je retrouve également Balthazar le vieux chêne savant. Je l'imagine grand, touffu, et également prévenant avec les gens qui viennent près de lui…



Choc a la page 110... (pour ne pas spoiler je ne vais pas vous dire 🤫 pourquoi j'ai été choquée mais franchement cher Monsieur @Pevel ca se fait pas 😕)



Flashback sur la jeunesse de Griffont et la création des 3 cercles. Sur sa première rencontre avec Aurelia, qui n'est encore que Le Lys Pourpre, avant de devenir Isabel de Saint-Gil.

Ces petits intermèdes concernant la jeunesse de Griffont et Aurelia donnent du rythme au livre et tiennent le lecteur en haleine puisqu'elles apparaissent toujours après un moment clé de l'histoire.



L'apparition de Lupin qui aiguise la jalousie de Griffont envers Isabel et assez inattendue et fort plaisante. Quand je disais que ce livre était plein de surprises… 😉

🤪🎺🇫🇷 Il est 5h, Paris s'éveille, il est 5h, je n'ai pas sommeil 🇫🇷🎺🤪



Retour dans Le Paris des Merveilles, le fameux Paris mieux que le nôtre, et c'est pas dur 🤣



La Belle Époque est devenue ma 2ème époque préférée en littérature en si peu de temps, c'est beau 😜



Elle détrône pas encore le Londres Victorien parce que bon, faut pas déconner, mais franchement, la 2ème place est assurée 👌



Le prologue commence en 1720 avec la reine Méliane qui se la donne à Ambremer et BOUM retour en 1909, chez notre cher Louis Denizart Hippolyte Griffont, qui apparemment kiffe de ouf les noms à rallonge (sûrement un pote de Xavier Dupont de Ligonnès) 😁



L'histoire sera suspendue par 2 fois par des flash-backs en 1720, car dans cette nouvelle enquête, passé et présent se donne la main et joue à la marelle 🤪



Un nouveau mystère à résoudre donc, pour Griffont et Isabel, qui vont prendre bien cher dans ce tome 😂



Leurs échanges me font toujours autant marrer, c'est un pur délice à lire 🤣 Ils passent leur temps à se balancer des skuds à la tronche, c'est beau l'amour 💜



Isabel, comme d'habitude, fait des trucs pas clairs, oublie de partager des choses sacrément importantes et se fourre dans des situations pas possibles, le tout avec le plus charmant des sourires 😬



On retrouve donc mages, elfes, fées, enchanteresses, minimets, gnomes, ogres et dragons (nombreux les dragons) 😁



Enlèvements, fusillades, courses poursuites, complots, magie noire, on ne s'ennuie pas une seconde !



Une des choses que j'aime le plus dans cette saga, c'est le style soutenu de la narration 🥰 On est clairement transporté(e)s direct à l'époque où l'histoire se déroule et c'est vraiment un petit bonbon à lire 🍬



Ça nous change des "wesh ma gueule bien ou bien ?" ça c'est sûr 😜

Alerte coup de💓

Nous avons déjà abordé le sujet "Paris des Merveilles" sur cette page, mais pour parler des bd's. Ces dernières m'ayant mis l'eau a la bouche j'ai décidé d'entreprendre un plus long voyage dans l'Outre-Monde.

Certains vont dire que l'auteur donne trop de détails, d'autres que justement il donne le noms des rues comme si tout le monde était parisien, je trouve au contraire que le tout est très bien dosé. Je ne suis pas parisienne et pourtant quand on me parle es Tuileries, de la rue Garibaldi,... je peux très bien imaginé l'ambiance.

Comme je le disais, je trouve ce roman très bien dosé, ni trop ni trop peu. Tant au niveau des descriptions qu'au niveau de la magie et du mélange réel/irréel.

La trame je la connaissais (ben oui, je me suis spoilée toute seule avec les bds 🤪) mais j'ai été ravie d'approfondir mes connaissances sur Louis Griffont est Isabel de Saint-Gil.

Je comprends aisément les prix attribués a @pierre.pevel pour cette série.

J'ai hâte d'entamer le tome 2 (qui celui-là n'est pas sortit en bd avant) et de voir comment la Reine Meliane va contrer la Reine Noire (si toute fois elle revient… c'est qu'il y a du suspense en plus dans ces livres 😉)

J’ai mis beaucoup de temps à sortir ce livre de ma PAL mais cela en valait la peine. Malheureusement j’ai lu l’adaptation en BD avant le roman et l’adaptation est assez fidèle. Le début m’a donc paru long car je savais ce qui allait se passer.

J’ai beaucoup apprécié l’univers du Paris des Merveilles, il n’y a pas trop de descriptions et on n’arrive très bien à s'imaginer toutes les créatures d’outremonde.

J’ai apprécié le personnage de Louis Griffont mais j’ai moins accroché avec Isabel de Saint Gil, elle est plus effacée dans le roman même si la dynamique entre les deux fonctionnent bien.



J’apprécie toujours l’écriture de l’auteur mais pour l’instant je préfère ses autres romans, on verra avec le tome 2 qui n’a pas d'adaptation en bd cette fois.

Tout a été dit sur cette trilogie, il me semble à la fois redondant et inconvenant d'en rappeler l'intrigue aux nouveaux lecteurs.



Je tempère simplement cet enthousiasme débordant des fans de Pevel, car je suis de ceux qui n'ont pas été totalement charmés. On a tendance à faire l'éloge de ce Paris des Merveilles, qui pourtant, montre un certain nombre de clichés et de tics assez lourds.



Tout du long, j'ai senti la plume d'un homme, qui s'attarde sur les descriptions de ses héroïnes de façon très appuyée; tandis que les hommes ont droit à une présentation lapidaire. C'est charmant dans les romans de fantasy et SF des années 1960-1970, un peu moins ici.

Il s'agit aussi de personnages sans beaucoup de profondeur.



On a beaucoup parlé de ce Paris incroyable et féérique, je concède que l'idée est très bonne, mais le livre manque de descriptions. On court derrière l'intrigue, qui se déroule en priorité, c'est un choix (personnellement j'aurais aimé entrer d'avantage dans la ville et m'y ballader : or, ici Pevel énonce des rues, sans détails, comme si on était tous parisiens).



Enfin, c'est une lecture sans enjeu : on sait très vite que notre héros va y arriver, que les jolies femmes vont survivre, que les gros messieurs suants vont mourir, et les méchants ricanent -pour faire bonne mesure.



Attention je ne crache pas dans la soupe ! ça reste plaisant. Mais pas culte.