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Le palais des assassins

Série de 1 livres (En cours). Écrite par Tabasa Iori (1),


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Le Palais des assassins, tome 1

Le graphisme et l’histoire avec une héroïne également dans le palais impérial coupé du monde, rappellent inévitablement Les carnets de l’apothicaire. Je n’ai pas lu les Carnets de l’apothicaire, donc je ne peux pas véritablement parler des différences entre les 2.



En tout cas, j’ai passé un bon moment avec ce manga, en compagnie d’une héroïne attachante, qui voudrait à tout prix se faire des amies, mais qui traîne derrière elle une réputation sulfureuse car elle est la fille du plus haut fonctionnaire craint de l’empire, commanditaire des plus vils assassinats. Tout le monde la fuit donc comme la peste, alors qu’elle a bon cœur et qu’elle est simplement gaffeuse, ce qui donne des répétitions sur le même ressort comique, en parallèle de résolutions d’intrigues assez basiques. P



L’évolution du manga est déjà annoncé dans ce premier tome : O Kirin veut s’intégrer dans la cour, monter les échelons (très bien expliqué de servante à concubines), et elle sauve déjà le jeune empereur de tentatives d’assassinat, car tout le monde veut avoir sa peau.



A voir si la série ne s'essouffle pas au fil des tomes !
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Le Palais des assassins, tome 1

Personnellement, je n'ai guère lu 'Les Carnets de l'Apothicaire' auparavant, et je crois que c'est pour ça que j'ai autant aimé ce premier tome qui, je le sens tout de même, surfe un peu sur la vague de popularité de cette dernière. C'est étonnamment drôle, léger, agréable à lire ! J'ai adoré découvrir le quotidien de cette Karin totalement loufoque et j'ai hâte de suivre la suite. {16}



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Le Palais des assassins, tome 1

Avant de me lancer dans le premier tome, j’ai lu quelques trucs à propos de ce manga. Comme quoi Le Palais des Assassins, de Tabasa Iori, serait un Carnets de l’Apothicaire bis. Vite fait comme ça, on pourrait croire. Les dessins, l’univers… Mais ça s’arrête là. Bon si, les deux sont édités chez Ki-oon.



Effectivement, on se retrouve à la cour impériale, dans le quartier des femmes où Karin vient de devenir apprentie servante, on est un peu obligé de faire le pont avec Mao Mao. Mais après la lecture de ce tome, la comparaison s’arrête là. Car ici, Karin n’a qu’une envie : se faire des amies. Elle en rêve mais pas facile quand on est la fille du haut fonctionnaire le plus craint de l’empire. C’est simple, dès qu’elle se présente, les gens prennent peur et la supplient de ne pas les tuer… Ambiance… Cela pèse énormément sur le moral de la jeune fille mais sa rencontre inattendue avec l’empereur va lui donner un gros coup de boost pour ne rien lâcher et atteindre son but tout en lui prouvant sa reconnaissance !



Karin avait pour but de devenir une assassin à la botte de son père, elle connait donc tout de cet art et comme les complots et les tentatives d’assassinat sont légion à la cour, elle va, malgré elle, mettre ses talents à profit afin de défendre et protéger l’empereur. Dans le feutré bien sûr !



La suite :
Lien : https://www.backtothegeek.co..
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Le Palais des assassins, tome 1

Un premier tome sympa bourré d'humour sur un thème qui est d'habitude bien plus sérieux. On a encore affaire à un personnage feminin atypique et j'adore ça. J'espère que je serai autant happée sur pour les Carnets de l'apothicaire.

Je continuerai à lire les aventures de cette assassine incomprise !
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Le Palais des assassins, tome 1

📜𝕸𝖔𝖓 𝖗𝖊𝖘𝖘𝖊𝖓𝖙𝖎📜



🎎J'ai beaucoup aimé ce manga. On y retrouve la trame des Carnets de l'apothicaire, en plus humoristique mais tout aussi truffé de complots et autres méchancetés. Les servantes ne se font pas de cadeaux et Karin aura bien du mal à se faire des amies surtout avec la réputation familiale qui la suit comme son ombre. Ce qui est bien c'est qu'elle garde toujours l'espoir. Un brin décalée avec une graine de folie, elle est là looseuse parfaite sans le savoir !!!! Ce qui fait qu'elle est attachante.🎎



🈴 Une belle découverte qui promet encore de beaux moments de lecture🈴



🎴🧡De magnifiques illustrations tout au long de ce tome, que je vous conseille.🎴🧡



😁Petit + : J'adore le sourire de O'Karin😁
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Le Palais des assassins, tome 1

Beaucoup ont parlé des Carnets de l’apothicaire quand ils ont vu arriver ce titre et je peux comprendre car nous sommes à nouveau dans le cadre d’une Cour intérieur chinoise avec une servante confrontée à des meurtres ou du moins tentatives. Mais on ne joue pas sur le même registre, nous sommes ici dans une vraie comédie là où son aîné était plutôt un récit d’aventure. Voilà donc une nouvelle variation des plus sympathiques.



Aussi surprenant que ce soit, car nous l’avons à peu près tous oublié, nous avions déjà fait la rencontre de l’auteur en 2020 avec la trilogie Heroines Game chez Kana où on retrouvait un peu ce registre d’héroïne à l’allure mortelle et cette ambiance légèrement barrée où il reprenait une ambiance scénaristique bien connue pour la détourner à sa sauce : la battle royale, mais avec chaque participante incarnant une héroïne de conte…Il a gardé ici le même petit grain de folie.



Dans Le Palais des assassins, c’est O’Karin qui incarne ce petit grain de folie. Fille d’un célèbre fonctionnaire corrompu craint de tous, elle a quitté le foyer familial pour vivre sa propre vie en tant qu’apprentie servante dans le Palais car elle en avait marre d’être crainte elle aussi. Son seul désir : se faire des amies ! Mais avec sa tête effrayante due à l’éducation qu’elle a reçu, ça n’a rien de simple.



J’ai beaucoup aimé le registre humoristique de l’oeuvre, qui semble s’amuser à reprendre pour mieux les tordre les codes habituels des récits dans les cours impériales, avec leurs mystères, leurs entourloupes et leurs mesquineries. Ici, sous le regard naïf mais très particulier de Karin, nous allons ainsi assister à nombre tentatives d’assassinats et empoisonnements pour mieux les déjouer grâce à son entraînement passé. L’occasion, non pas tant de plonger dans les mystères de la Cour, que de s’amuser du décalage occasionné par la demoiselle qui cherche à tout prix à se faire accepter et ne réussit qu’à effrayer les autres alors qu’elle les aide. J’ai trouvé cela divertissant et savoureux, sans prise de tête, car pas besoin de réellement chercher à percer les mystères du lieu, ce n’est pas le propos, tout nous est servi sur un plateau.



J’ai ainsi pu profiter pleinement du lieu et des personnages, ainsi que de leurs dynamiques et relations. J’aime beaucoup la représentation de Karin avec ses petites oreilles de chat à la Anya, ses cernes d’inquiétudes sous les yeux et cette caractérisation de personnage toujours inquiet qu’on connaît bien dans le manga. Les éditions Ki-Oon ont bien pensé leurs couvertures qui reprennent fort joliment son goût pour la broderie, sa façon de tenter de s’intégrer dans ce nouveau lieu. C’est touchant de la voir essayer maladroitement de se faire des amies parmi les servantes, se mêlant sans le vouloir de leurs histoires pour les aider mais sans jamais que ça réussisse à lui offrir l’amitié qu’elle souhaite. Celle-ci viendra, enfin si on peut dire, d’un lieu plus surprenant du palais suite à une rencontre inattendue, mais ce sera totalement à sens unique pour le moment, une fois de plus. Karin est donc le personnage looser par excellence qui nous amuse énormément dans ses déboires !



Pour autant, j’ai trouvé les affaires rondement menées et bien écrites, dans le sens où c’est dynamique à suivre et entraînant, même si avouons-le, ça ne vole pas haut et c’est très classique. Il y a l’assassin qui s’introduit dans le palais, les oiseaux venimeux pour une tentative d’assassinat depuis l’intérieur ou encore la cérémonie de thé piégée dans le même but, avec une multitude de potentielle commanditaire derrière. Et à chaque fois, on s’amuse de voir comment Karin résout cela en usant des techniques et artefacts provenant de l’éducation de son paternel. Cela a un charme certain.



Nouvelle petite aventure, cocasse et drôle cette fois, au sein d’une Cour impériale en proie aux multiples tentatives d’assassinat. L’angle comique rend la lecture très fraîche, tout comme l’héroïne looseuse qu’on s’amuse à voir rater sa cible : trouver des amies. C’est inattendu et décalé même si l’univers et les histoires sont assez classiques, mais c’est plutôt savoureux à suivre.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Le Palais des assassins, tome 1

Une impression de lire une sorte de spi..off des carnets de l'apothicaire. C'est assez sympa à lire, avec cette touche d'humour.



On suit Karin une aprentie servante en apprentissage au palais intérieur de l'empereur.



Elle est aussi la fille d'un grand tacticien en quête de pouvoir grand assassin.



Tout ce qu'elle veut c'est se faire des amies, vivre une vie normal, mais pas de chance dans ce palais les tentatives d'assassinat sont assez courantes.



Bref difficile pour elle de se faire des amies quand tout le monde vous connaît et surtout connaît la réputation de votre très dangereux père. Elle va devoir gagner la confiance de ses collègues et va se donner comme ligne rouge secrète de faire échouer les assassinats de diverses personnalités de ce palais.



Voilà ça vous donne une idée de ce que donne ce premier tome.

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Le Palais des assassins, tome 1

Elle est jeune, elle travaille comme apprentie servante à la cité interdite, des mystères l’entourent…

Les « Carnets de l’apothicaire » ? Hé non, contre toute attente il s’agit du « Palais des assassins », un manga qui m’a tout l’air de surfer sur le succès des aventures de Mao Mao. Alors, ce manga est-il une copie ou une œuvre plus originale ?



Ici, nous avons affaire à O Karin, une jeune femme issue d’une bonne famille. N’ayant pas de difficultés financières, elle s’engage au Palais pour une raison qui peut sembler assez naïve de prime abord : se faire des amies, et sortir d’une solitude imposée par son père, O Ko, un fonctionnaire cruel et corrompu craint de tous. Sauf que même les meilleurs plans ont leurs défauts, et que la réputation paternelle ayant précédé O Karin, elle se retrouve systématiquement repoussée par tous, malgré ses efforts pour s’intégrer. Seul l’empereur, un jeune garçon placé là par le hasard des décès (quoi que…), lui manifestera un peu de sympathie, suscitant chez la jeune fille en manque d’affection une reconnaissance profonde, ce qui marquera un tournant dans leurs vie à tous les deux… le Palais regorgeant d’intrigues dangereuses qui ne laisseront pas la jeune fille en paix.



Je ne fais pas durer le suspense plus longtemps : ce manga est une réussite, et cela ne m’a pas dérangée que le cadre soit identique. Si les ambitions d’O Karin sont de prime abord « mignonnes » — se sentir un peu moins seule —, la faisant apparaître un peu lisse, on ne tarde pas à constater que son père a laissé sa marque dans son éducation, ce qui laisse entrevoir un déroulement de l’intrigue plutôt prometteur. Et surtout, il est moins girly que les « Carnets de l’apothicaire », qui me semble avancer, au fil des tomes, vers une intrigue plus romantique et moins élaborée.

Plus important pour un manga historique, j’ai aussi trouvé que le cadre était mieux posé que dans les « Carnets » : l’organisation hiérarchique de la domesticité est bien plus détaillée, nous faisant mieux comprendre que les arcanes politiques de la Cité interdite vont jusqu’à cet aspect ; et le Palais porte bien son titre en apparaissant davantage comme le lieu de toutes les manigances politiques, les gens souhaitant la mort des autres, leurs rivaux, et agissant dans ce but. Par comparaison, « Le Palais des assassins » me paraît plus crédible.



J’ai pris plaisir à lire ce premier tome qui me paraît receler quelques promesses ; charge aux prochains tomes de les concrétiser (ou pas) !
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