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Les enquêtes du commissaire Soneri

Série de 8 livres (En cours). Écrite par Valerio Varesi (8),


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La main de Dieu

Enquête dans un village italien perché dans les Apennins.



🍕À première vue, Monteripa est un patelin, certes isolé, peut-être éloigné de la civilisation, mais comme il en existe des centaines.



🍝C'était sans compter un cadavre, découvert sur les bords de la Parma, charrié par la crue et échoué là, sous le ponte di Mezzo. Et puis une suspecte camionnette blanche, criblée de balles.

Soneri, policier expérimenté, est dépêché pour élucider cette nouvelle affaire, sans savoir qu'il va devoir rester dans le village plus longtemps que prévu, bloqué par une violente tempête de neige.

Mais Monteripa, perdu au milieu de la forêt, semble renfermer bien des secrets..



😱Un polar haletant autant qu'agréable, sur fond de trafic de drogue, de manigances politiques, de meurtres, d’argent et d’affaires d'héritage.

C’est la septième enquête de Soneri et il apparaît préférable de lire les précédentes pour mieux comprendre son personnage.



🫵🏽Ambiance italienne garantie !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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La main de Dieu

Entre Parme et montagne, une enquête à intrications et à faux-semblants pour le plus magnifiquement mélancolique des commissaires de police italiens.



Sur le blog Charybde 27 : https://charybde2.wordpress.com/2024/04/04/note-de-lecture-la-main-de-dieu-valerio-varesi/



Comme souvent (maintenant que l’on commence à avoir un peu pratiqué l’animal) avec le commissaire Soneri, dans son repaire entre fleuve, plaine et montagne, tout commence par un ferment de nostalgie niché au creux d’un pressentiment et d’une coïncidence. Un cadavre inconnu et intraçable retrouvé sur la berge du Torrent de Parme, sous l’un des plus vieux ponts de la ville. Une camionnette abandonnée plusieurs kilomètres en amont, criblée de balles. Un village, beaucoup plus haut encore, où les intérêts touristiques croisent ceux des sociétés de chasse et bien davantage ceux, plus obscurs, d’un certain génie de la finance se trouvant peut-être au bord du gouffre. Un alignement de planètes qui devrait rester incompréhensible pour tout autre que l’étrange commissaire toujours en quête d’un ailleurs et jadis qu’il ne saurait pourtant définir : et pourtant, une fois de plus, la criminalité contemporaine se fraie un chemin dans les ornières apparentes de l’histoire et de la géographie – et Soneri est là, et bien là.



Publiée en 2009, traduite en français en 2022 par Florence Rigollet chez Agullo, la dixième enquête (la septième chez nous) du commissaire parmesan Soneri renoue avec cette montagne qui est l’une des composantes essentielles de la géographie multicellulaire servant de creuset au choc permanent du passé et du présent qui irrigue la série créée par Valerio Varesi en 1998. Proche cousine, par ce contexte en grande partie apennin, des « Ombres de Montelupo », où l’on pouvait déjà jauger de de près l’effet d’une domination économique sans partage sur le vase clos d’un village relativement isolé, « La Main de Dieu » en diffère pourtant sur deux points essentiels : l’enquête des hauteurs est ici insérée dans celle de la ville, et non pas « purement locale » comme cela avait été le cas, et la réclusion « à l’écart du monde » opérée par le commissaire n’est pas volontaire (comme dans des vacances aux champignons), mais nettement plus ambiguë, la neige, les glissements de terrain et les pannes des relais téléphoniques venant éventuellement conforter un désir latent de ne pas rentrer à Parme. La nostalgie inqualifiable – qui habite Soneri presque en permanence, ne s’exprime en montagne exactement comme en plaine inondable (reportez vous au « Fleuve des brumes » ou à « La maison du commandant » pour en avoir le cœur net) et lui donne (en plus de son profond ancrage géographique et historique, donc) ce charme si particulier qui en fait un cousin bien distinct de l’Adamsberg de Fred Vargas et du Montalbano d’Andrea Camilleri – trouve ici un terrain d’expression particulièrement propice et confère à « La main de Dieu » une belle signature un peu à part parmi les enquêtes nous ayant été données à lire jusqu’ici.
Lien : https://charybde2.wordpress...
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Le fleuve des brumes

Le fleuve des brumes est le quatrième roman où apparaît le commissaire Soneri, mais c’est le premier traduit en français (les trois premiers ne le sont toujours pas). J’aurais bien aimé en savoir un peu plus sur lui, à titre personnel, notamment sur son veuvage et sa relation bouillante avec Angela, une avocate. En même temps je ne vais pas me plaindre, dans certains polars l’auteur se croit obligé de faire un rappel circonstancié sur la vie de son héros et quand on suit la série, c’est un peu agaçant. On comprend très vite que Soneri est un solitaire, même s’il a des collaborateurs qui font des recherches utiles ou les « devoirs d’enquête » ennuyeux pendant que lui se balade seul, renifle le terrain, suit une intuition toute personnelle (qui s’avère juste évidemment), noue des liens avec des témoins potentiels et rentre tard chez lui où il mène une vie quasi monacale (Angela ne veut pas venir chez lui, elle préfère le retrouver dans des endroits improbables pour des rendez-vous interdits aux mois de 18 ans et cela arrange très bien Soneri). Il fume le cigare à longueur de journée et a une relation très conflictuelle avec son téléphone portable.



Dans cette enquête, deux frères meurent ou disparaissent de manière suspecte : le premier s’est défenestré (ou on l’a poussé ?) d’un hôpital de Parme où il allait simplement pour rencontrer des gens malades et les encourager dans les salles d’attente, le second disparaît avec sa péniche quelque part sur le Pô pendant un épisode intense de crue du fleuve. On est dans la basse plaine du Pô, non loin de Parme, dans la région d’Emilie-Romagne. Le fleuve va continuer à monter, empêchant une enquête « correcte », et la décrue va s’accompagner d’un brouillard et d’un froid glacial dans lequel va s’enfoncer le commissaire Soneri, au grand dam de sa hiérarchie. Pendant plusieurs jours, il va s’informer sur la vie du fleuve, interroger de vieux pêcheurs d’un club nautique, s’installer dans un restaurant typique tenu par un sourd, rencontrer la soeur et le neveu des deux morts, zigzaguer entre les bras morts du Pô pour faire resurgir de vieux secrets enfouis depuis la deuxième guerre mondiale, au temps où les fascistes et les résistants communistes se sont affrontés sans pitié.



Ce n’est pas le polar le plus palpitant que j’ai lu mais l’eau qui monte et se répand partout sans faire peur aux vieux qui connaissent intimement le Pô,, l’ambiance de brouillard et de gel qui prennent possession du paysage, les vieux qui savent mais ne parlent pas, tout cela crée un climat lancinant, oppressant et addictif à la fois. Je retrouverai sûrement le commissaire Soneri pour le connaître davantage, lui et sa ville de Parme, sans compter qu’il y a par ici de grandes traditions gastronomiques bien alléchantes…
Lien : https://desmotsetdesnotes.wo..
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La pension de la via Saffi

Un roman policier composé de 3 personnages :

_ un ecrivain à la plume aerienne ,poetique, c'est suffisemment rare dans les rayons polars, pour être noté.

_ le  commissaire Soneri, quelque peu mysantrope, en tous cas, désabusé. Sa raison de jouir de la vie s'est estompée avec la disparition tragique de sa compagne .

_ la ville de Parme, où exerce le commissaire. Comme les humains, se transforme, au rythme des mutations sociales.

Et, puisqu'il s'agit d'une nouvelle enquête menée par ce mal aimé de la questure locale, il faut une victime : la vieille logeuse Guitta. Laquelle, même assassinée, reactive les  douloureux souvenirs de notre Maigret parmesan, seconde victime ?

Si la ville se transforme _" nul ne repasse par sa jeunesse" _ rodent les ombres du passé : les sequelles du fascisme, des années de plomb (?), les normes religieuses et sociales, disparues pour les nouvelles générations . Les immigrés paraissent se les approprier.

Le rythme est lent, les deambulations nocturnes de l' enquêteur solitaire nous promènent dans les brumes locales,  au gré des filatures, hypothèses et soupçons s'enchainent. Plus qu'un polar , c'est la société italienne d'une petite ville de province qui est estompée .

le rythme est trop lent, et ce spleen permanent déroulé au fil des pages, contagieux, enfin pour moi, lecteur.

Sympatique découverte, sans plus

donc : 3/5.
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La maison du commandant

Entre Parme et Pô, le commissaire Soneri entrechoque avec mélancolie et acuité le passé qui ne veut pas mourir et le présent qui voudrait tout broyer.



Sur le blog Charybde 27 : https://charybde2.wordpress.com/2024/03/20/note-de-lecture-la-maison-du-commandant-valerio-varesi/



Alors qu’il entamait dans la bassa, ce bout de plaine en partie inondable située entre Parme et le Pô, une enquête sans trop de conviction, à propos d’armes de contrebande qui circuleraient parmi les nouveaux pêcheurs de silure du coin, souvent anciens militaires slovènes ou slovaques, le commissaire Soneri est brutalement ramené à l’ordinaire de la violence urbaine, lorsqu’il se retrouve presque par hasard en première ligne pour poursuivre, à toute allure sur les petites routes inconfortables de ces lieux, une bande de braqueurs de distributeurs bancaires en pleine récidive.



Mais comme souvent dans les enquêtes auxquelles il est confronté (en tout cas celles que Valerio Varesi daigne nous raconter), quelque chose attise vite son instinct sachant assembler intuition et rêverie (celle qui fait parfois de Soneri un cousin pas si éloigné de l’Adamsberg de Fred Vargas) : une accumulation de faits apparemment disjoints, tels que des cadavres mystérieux retrouvés dans le Pô, du sable qui disparaît ou un héros de la Résistance devenu toujours davantage ermite, met en branle une machine détective qui, pour n’être pas pleinement orthodoxe, sans doute, se révèle en général extrêmement efficace, connectant les points irrationnels de la carte avec ceux issus directement du calcul des intérêts.



Publiée en 2008, traduite en français en 2021 par Florence Rigollet chez Agullo, la neuvième enquête (la sixième chez nous) du commissaire parmesan Soneri nous ramène, en une étrange boucle mélancolique, à son point d’ancrage initial (du point de vue du lectorat français) le plus profond, celui de cette plaine inondable du Pô, entre Émilie-Romagne et Lombardie, soumise aux crues du grand fleuve, à l’habitat dispersé et taiseux pourtant si proche de la métropole parmesane, celle-là même que nous avions découverte dans « Le fleuve des brumes ». Comme le confirmera d’ailleurs le volume suivant, « La main de Dieu », on pourrait ainsi esquisser une histoire-géographie en spirale de l’ouest de l’Émilie-Romagne selon Valerio Varesi, passant de la plaine du Pô à la ville (« La pension de la via Saffi »), de la ville à la montagne (« Les ombres de Montelupo »), pour revenir à la ville (« Les mains vides ») puis à la plaine, par deux fois (« Or, encens et poussière » et cette « Maison du commandant »), avant de repartir pour les contreforts apennins (« La main de Dieu », prochainement sur ce blog). Cette spirale envoûtante n’a rien à voir avec une quelconque figure de la répétition, mais bien avec celle de l’approfondissement : sous le regard aigu et sensible du commissaire Soneri, une véritable connaissance par les gouffres se fait jour de proche en proche, celle du poids des lieux – et de leurs mémoires historiques, trafiquées ou non – sur les existences présentes, qu’elles l’acceptent ou s’en défendent. Et c’est ainsi que se construit volume après volume l’une des séries les plus attachantes du roman policier contemporain – et au-delà.
Lien : https://charybde2.wordpress...
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Le fleuve des brumes

Je reviens à Valerio Varesi après avoir lu son dernier roman, Ce n'est qu'un début, commissaire Soneri. Le fleuve des brumes est le premier de la série, paru en 2003 en Italien. L'atmosphère est la même, plus gorgée d'humidité encore. Le Pô est en crue. Les premières pages font assister à la dérive d'une péniche sur le fleuve en colère. C'est magistral. Le brouillard succède aux pluies abondantes. Soneri ne fait son entrée qu'au chapitre 2.



L'enquête s'articule autour des frères Tonna, un cadavre, un disparu. Soneri écarte très vite l'accident.



Il faut attendre la page 60 pour voir le premier déjeuner et son menu, anolini au bouillon, décidément c'est un favori de l'auteur.



Angela est déjà présente, souvent au téléphone. Elle aiguillonne Soneri, et ses incursions apportent un peu de détente et d'oxygène au récit. La relation des deux protagonistes est basée sur une forte complicité mais semble dénuée de grands sentiments.



C'est le Pô qui occupe la place centrale dans le roman, dans son aspect le plus indompté, avec ses changements d'humeurs, mais aussi une attraction qu'il exerce par sa beauté. Ses îles se font refuges. Valerio Varesi instille une réelle poésie à l'histoire d'Antea Tonna et de son amie, Maria des Sables, qui ne peuvent se rencontrer que sur une île au milieu du Pô.



La musique de Verdi accompagne le récit. Elle lui imprime une dimension théâtrale et dramatique.



Soneri mène son enquête le long du fleuve, avec une économie de paroles, un brin d'intuition, et de la nostalgie. Ce n'est pas pour rien qu'on le définit comme le Maigret italien.



Valerio Varesi possède une belle écriture, mais l'enquête est lente et l'atmosphère lugubre. Son roman compte peu d'action mais est résolument noir.
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Or, encens et poussière

De retour dans les brumes hivernales de la campagne parmesane, le commissaire Soneri débrouille à sa manière unique un écheveau de vice et d’avidité, de hasard et de nécessité, toujours sous le signe d’une implacable nostalgie – et du goût de la bonne chère.



Sur le blog Charybde 27 : https://charybde2.wordpress.com/2024/03/08/note-de-lecture-or-encens-et-poussiere-valerio-varesi/



L’hiver à Parme. La campagne environnante, et notamment celle des terres basses qui entourent le Pô aux inondations de plus en plus redoutables, est plongée dans un brouillard presque inimaginable. Le temps idéal donc pour un carambolage massif, impliquant des dizaines de véhicules, sur l’autoroute qui traverse l’Émilie-Romagne, à proximité de la ville où exerce le commissaire Soneri – seul officier capable de ne pas se perdre parmi ces chemins et ces brumes. Des gitans auraient été aperçus rôdant sur les lieux, certainement à l’affût de quelque aubaine abandonnée – disent les premiers rapports de police. Lorsque le corps d’une immigrée roumaine, qui sera identifiée comme ayant été la maîtresse plus ou moins officielle de notables parmesans, est découvert près des voitures en détresse, lorsqu’un vieil homme est retrouvé mort à son tour dans un bus venant de Roumanie, arrêté à son terminus italien, et quand un personnage inattendu fait son apparition au coeur du campement des gitans soupçonnés de mauvaises intentions, le commissaire Soneri est à nouveau renvoyé à ses démons personnels et à ses mélancolies secrètes. Et ce d’autant plus, sans doute, que sa relation avec l’avocate Angela semble fragilisée dans tout ce brouillard…



Publiée en 2007 et traduite en français en 2020 par Florence Rigollet chez Agullo, « Or, encens et poussière » est la huitième enquête du commissaire Soneri écrite par Valerio Varesi (et la cinquième chez nous, le cycle commençant de ce côté des Alpes par « Le Fleuve des brumes »).



J’ai déjà dit dans les quatre notes de lecture précédentes tout le bien que je pense de cette série à la fois profondément inscrite dans son environnement de giallo italien contemporain (avec ses filiations et correspondances du côté de Carlo Lucarelli ou d’Andrea Camilleri, pour ne citer qu’eux) et relativement hors normes sous bien d’autres aspects : son intime puissance géographique lui permettant de se glisser dans l’essence de ce qui fait la ville, la campagne et la montagne dans cette Émilie-Romagne d’aujourd’hui, aux frontières si poreuses, ses ramifications historiques, qui lui permettent de faire porter en permanence les grandes ombres du passé (deuxième guerre mondiale, guerre civile larvée ou ouverte, années de plomb ou recompositions politiques encore presque fraîches), ramenées bien entendu à leur échelle humaine, et sa capacité rare, enfin, à intriquer la vie personnelle de son protagoniste principal, vie évolutive soumise à constantes et à surprises – ce qui est un art particulièrement délicat dans les séries policières au long cours, comme en témoignent les facilités et les gommages dont usent souvent nombre de ses confrères.



Avec « Or, encens et poussière », une forme étrange et poétique de cycle des temps et des lieux semble s’esquisser dans la série, puisqu’après la ville humble de « La pension de la via Saffi », la montagne des « Ombres de Montelupo » et la ville cossue des « Mains vides », on semble d’abord revenir à la plaine inondable du « Fleuve des brumes », avant que, une fois de plus, les liens souterrains qui relient le disjoint n’apparaissent, le plus souvent sous l’effet de l’extrême attention portée aux lieux et aux gens par le commissaire Soneri, policier nostalgique du passé sans doute, mais n’éprouvant pourtant nul besoin d’en devenir réactionnaire. Et c’est peut-être bien là l’une des raisons de l’intense attachement que l’on éprouve désormais à son égard.
Lien : https://charybde2.wordpress...
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La main de Dieu

Valerio Varesi s’inscrit fort justement dans la liste des auteurs classiques de romans policiers où tradition prime sur sensationnel.

Cette nouvelle enquête entraîne le commissaire Soneri à Monteripa, un très joli petit village des Apennins, après que le corps d’un homme ait été retrouvé sur la grève de la Parma, à côté du ponte di Mezzo. Mais le cadavre est l’arbre qui cache la forêt. Les investigations du limier gourmet vont l’amener à découvrir les ingrédients d’un cocktail diabolique où se mêlent des faunes, de la drogue, une pute de luxe, un curé et des chasseurs...

C’est toujours une joie sous le prétexte d’un simple polar de découvrir l’Italie, sa gastronomie et ses personnages hauts en couleur.

Même si le suspens n’est pas poussé à son paroxysme, on folâtre volontiers dans cette histoire où l’on prend une grande bolée d’air pur.

C’est une lecture où l’on déguste l’humour à froid du commissaire et de sa compagne Angela au milieu d’une nature sauvage. Une très agréable récréation !

Traduction de Florence Rigollet.

Editions Agullo, Points, 333 pages.

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