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Max Fridman, tome 5 : Sin ilusion

Le clou de l'épopée Fridman à la guerre d'Espagne. Les péripéties mouvementées se déroulent dans une Barcelone rendue avec précision, de jour comme de nuit.

La ligne claire classique fait merveille, osant gros plans et plans serrés sur l'idylle naissante entre le professeur taciturne et la belle journaliste. Mais Max a déjà une femme dans sa vie, qui illumine les dernières pages. le conflit espagnol touche à sa fin, les bons ont perdu, Franco arrive et ses années noires.

Ce dernier épisode compense le précédent, Rio de Sangre, transition avant un final endiablé sur 64 pages, le deuxième plus long album de la série, derrière le tome 1. Le 1 et le 5, les meilleurs, comme souvent dans une série ou un feuilleton.

Fin de mon retour vers le passé, ayant lu le premier il y a quarante ans et commandé la suite récemment.

Et si j'essayais de retrouver Jonas Fink, successeur de Max Fridman ?
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Max Fridman, tome 3 : No pasarán

Ça y est, les trois tomes qui me manquaient sont arrivés via la France après deux semaines d'attente.

Je m'installe et je savoure ces cases dépouillées, aux couleurs ternes et réalistes. Seul le rouge brille, qui éclabousse le champ de bataille de la guerre d'Espagne.



Voyez la page 11, sans paroles.

Max tisonne dans l'âtre,

allume sa pipe,

fume trois quarts dos, le regard perdu,

la fumée volète en gros plan,

et - case suivante - devenue volute dans un paysage de dévasté.

Magnifique, comme au cinéma !

Le scénario est un peu mince. On comprend vite que ce retour en Catalogne, en 1938, se poursuit dans les volumes suivants, "Rio Sangre" et "Sin ilusion".

Le nombre de pages diminue -55 au lieu de 64 dans le premier épisode des aventures- de Max Fridman.

Le quatrième volume mincit encore : 48. Zut !

Mais bon, le plaisir du premier tome, il y a une vingtaine d'années, est intact.

Va pour les 4 et 5. de toute façon, ils sont sur la table à me faire de l'oeil.

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Max Fridman, tome 1 : Rhapsodie hongroise

Révision de ma bibliothèque (8)



Une bédé très peu lue, du siècle passé.

Découpage classique, ligne claire, couleurs chaudes et scénario de première. Les physionomies font parfois penser à Adèle Blanc-Sec ou à Black et Mortimer. Les vues extérieures de Budapest sont restreintes mais l'ambiance palpable.

Je suis très fervent de ces intrigues sur 90 pages, bien ficelées, où il y autant à lire qu'à regarder. Je me souviens avoir attendu impatiemment la deuxième aventure de Max, genre d'agent secret, de nationalité française, vivant en Suisse, l'anti- James Bond, plutôt émule d'Harry Palmer. La Porte d'Orient a confirmé d'excellentes premières sensations.

Les trois suivants, je ne les ai pas lus ; je découvre leur existence aujourd'hui.

Et miracle, ils sont toujours disponibles. Cela prouve la qualité d'une série entamée en ...1984 ... et l'intérêt de passer mes bibliothèques en revue.

Je vais les faire venir de France. Deux semaines d'attente, une paille. J'ai bien vécu 36 ans dans l'ignorance. Joie ! Et un beau voyage dans le temps en perspective.
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