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The one

Série de 17 livres (En cours). Écrite par Nicky Lee (17),

The one, tome 1 par Lee
tome : 1
The One, tome 2 par Lee
tome : 2
The One, tome 3 par Lee
tome : 3
The One, tome 4 par Lee
tome : 4
The One, tome 5 par Lee
tome : 5
The One, tome 6 par Lee
tome : 6
The One, tome 7 par Lee
tome : 7
The One, tome 8 par Lee
tome : 8
The One, tome 9 par Lee
tome : 9
The One, tome 10 par Lee
tome : 10
The One, tome 11 par Lee
tome : 11
The one, tome 12 par Lee
tome : 12
The One, tome 13 par Lee
tome : 13
The One, tome 14 par Lee
tome : 14
The one, tome 15 par Lee
tome : 15
The one, tome 16 par Lee
tome : 16
The one, tome 17 par Lee
tome : 17

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Dernières critiques
The one, tome 16

La mode est toujours là mais c’est la romance bien mélo des héros qui a repris le dessus, ça passe ou ça casse selon vos préférences.



Je crois que je me suis malheureusement habituée à ces retours ponctuel d’un mélodrame excessif dont l’autrice semble friande. Je préfère de mon côté quand on parle juste mode et podium et à la limite relation de travail et jalousie personnelle. Mais l’autrice semble avoir besoin de ce côté soapesque de temps en temps pour pimenter son histoire. Acceptons.



Ici, j’avoue qu’une fois l’abcès crevé et la vérité sur les agissements d’Eros révélé, c’est assez drôle de le voir se traîner aux pieds de Lele et tout faire pour la reconquérir. Ce n’est pas fait dans la finesse, avouons-le. Il y a un côté homme des cavernes, mâle dominant, mais on sent aussi tellement l’humour de l’autrice derrière qu’on passe des bons moments. C’est drôle de le voir ramer, devoir demander de l’aide à ses amis, se transformer en homme à tout faire et bûcheron, tandis que Lele, elle, prend du bon temps devant les objectifs avec André, qui est devenu un véritable ami.



Je sais que les représentations des Queers dans l’histoire posent problème depuis le début, car l’autrice en a une vision assez caricaturale, mais en même temps, ce n’est jamais méchant et au contraire je la trouve assez ouverte. Elle lutte à sa façon contre les préjugés et ici avec André elle nous prend à contre-pied avec un garçon androgyne que tout le monde imagine gay alors qu’il s’éveille à l’amour hétéro avec Lele. Je l’ai trouvé attachant ce garçon mal appris qui s’adoucit et devient un vrai ami pour elle. J’ai aimé assister à son évolution et au développement de leur relation. J’espère juste que l’autrice ne va pas l’oublier comme elle a l’habitude de le faire.



Car après tout, c’est un peu ce qu’elle a fait avec Angus, le frère d’Eros, qu’elle ressort un peu de nulle part de temps en temps et notamment dans ce tome. Je vois bien ce qui se passe dans sa tête. Maintenant qu’elle a réglé le passé d’Eros, ses problèmes familiaux, sa relation avec Lele, il reste sa relation problématique avec son frère. On focalise donc notre attention dessus pour les tomes qui restent (2) et on nous ressort des situations bien glauques et sordides où la possessivité non légitime d’Angus ressort violemment. C’est à nouveau bien trop excessif pour moi, ce genre d’extravagance me sort toujours totalement de l’histoire, même si je comprends bien que c’est pour donner matière à l’histoire et la rendre addictive et tendues. Ce n’est juste pas une manière que j’apprécie.



Placé sous le signe de la reconquête, ce tome aura su bien m’amuser car j’ai aimé voir Eros à contre emploi courir après celle qu’il aime et faire des efforts pour la reconquérir. C’est raconté avec humour, faisant un peu oublier le trop plein de mélodrame dans les chapitres précédents, mais celui-ci n’est jamais bien loin et le retour brutal d’Angus dans l’histoire y fait malheureusement appel. Nicky Lee a vraiment une manière soapesque, datée désormais, de conter les histoires qui clive : soit on adore le côté addictif et excessif, soit ça fait lever les yeux au ciel et ça dérange. A vous de voir où est votre curseur.
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The one, tome 15

Retour sur les podiums, Lele l’a compris, elle ne peut pas seulement vivre d’amour et d’eau fraîche, elle a besoin de challenge dans la vie et celui que lui offre son duo avec Andre est à la hauteur.



Savoureux, mais léger, mélange de drame, de paillette et de romances compliquées, The One continue de faire palpiter le coeur des amateurs de soap à l’ancienne. Mélo à toutes les étapes dans ce tome par une autrice qui maîtrise bien ses codes pour titiller sans cesse les lecteurs. Détestateurs du genre, fuyez ! Mais de toute façon à ce stade de l’histoire, je ne crois pas qu’il en reste beaucoup ^^!



Suivons donc le sourire aux lèvres le cheminement de Lele pour tenter d’incarner l’idéal masculin que veut lui imposer Devereau pour son duo masculin-féminin inversé avec André. C’est amusant de voir les réactions jalouses d’Eros d’un côté, maintenant qu’il a découvert l’amour, et la jouissance de Lele a le voir ainsi car elle réalise enfin l’égalité de ses sentiments pour elle. Un gentil jeu de chat et de la souris avec André au milieu. Le résultat, d’un point de vue « mode », est assez sympathique avec une vision ouverte à la diversité montrant que chacun doit être à l’aise dans son style homme / femme et peut importe son sexe, sans que la société ait à juger. Cela donne de très beaux portraits sur les podiums et en dehors.



En revanche, je serai plus critique concernant l’aspect dramatique l’autrice vient encore une fois ajouter à son histoire. Est-il nécessaire de revenir sur ce qu’Eros avait fait pour se venger de son père et de venir perturber le couple avec la petite vengeance de Feidna ? Je n’en suis pas convaincue. J’avais déjà trouvé cet aspect vraiment excessif, exagéré et je n’ai pas aimé le voir ressurgir. Ce n’était pas nécessaire si ce n’est à délayer encore et encore l’histoire. Idem avec la relation archi malsaine d’Angus et son milliardiaire qui pop de temps en temps et dont l’autrice ne semble pas trop savoir quoi faire. Elle en dénonce la contrainte mais la romantise quand même. Je n’aime pas.



Retour sur les podiums réussi pour Lele qui trouve un nouveau binôme finalement assez sympathique avec qui s’épanouir dans un style encore plus libre qu’avant où elle assume les deux facettes, masculine et féminine, de sa personnalité. On aime le message positif sur la diversité même s’il n’est pas très fin. En revanche, le retour du mélo et du drame en pagaille, sur le sombre sombre passé d’Eros, on s’en serait bien passé. Quelle caricature soapesque !
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The One, tome 14

Fausse piste ! Alors que je pensais me tourner vers Angus, c’est vers les podiums que l’autrice nous ramène déjà. Un tome assez étrange et cocasse ^^!



Nicky Lee a vraiment le chic pour nous surprendre et faire faire des tours et détours à son histoire. A peine le couple Eros – Lele formé, qu’elle nous fait repartir sur les chemins de la mode. Pas bête en soi, car ainsi elle s’attaque à un des problèmes de son oeuvre dont elle semble prendre conscience : le manque d’ambition de son héroïne et le fait qu’elle ait toujours fait les choses pour suivre ou faire plaisir aux autres. Au moins, elle cherche maintenant à lui donner de la consistance.



J’ai ainsi beaucoup apprécié d’Eros mette les pieds dans le plat et confronte Lele par rapport à sa carrière de mannequin et ce qu’elle aspire à être dans la vie. J’ai moins aimé en revanche la réponse trouvée : un retour à Paris avec Devereau et surtout le défi que celui-ci lui lance. On se retrouve alors dans une ambiance plutôt comique et après le sérieux et l’émotion des tomes précédents, j’avoue avoir trouvé ça maladroit même si ça offre une respiration.



Nous voilà donc de retour sur les podiums ou plus précisément devant les objectifs et si on prend juste ce bout de l’intrigue pour ce qu’il est, sans le connecter au reste, il est amusant de voir comment l’autrice traite l’allure et le comportement androgyne du partenaire de Lele : André. Je me suis amusée du sale caractère de ce dernier et des crasses qu’il fait à Lele, mais aussi de la façon dont elle résiste et lui tient tête avec patience et panache. C’était une dynamique sympathique et si le côté « transgenre » d’André comme l’autrice l’appel est cliché à mort, il y a deux-trois remarques bien sentie sur le genre et le mannequinat.



Ce tome offre en plus un joli vaudeville en fin avec l’arrivée d’Eros après une énième mésaventure de Lele. Un petit triangle amoureux cocasse se met en place avec une Lele pas du tout au courant de la réelle attirance d’André et un nouveau défi de Devereau qui vient s’y greffer. C’était totalement ubuesque mais très drôle. J’ai ri de la nouvelle posture jalouse d’Eros, lui, qui a toujours été si indifférent et j’ai aimé l’assurance de Lele, qui se réveille enfin, dans les dernières pages. Le prochain tome est donc prometteur.



Surprise, surprise, Nicky Lee nous entraîne là où on ne l’attend pas dans ce tome. Si on est ici dans de la pure comédie, ce qui rompt un peu brutalement le ton, c’est de la comédie drôle et bien faite, reposant sur des oppositions amusantes au comique travaillé. Tout en interrogeant enfin le caractère passif de l’héroïne, l’autrice nous offre comédie, triangle amoureux et retour devant les objectifs. C’est très chouette !
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The One, tome 13

La lumière au bout du tunnel : voilà ce qui caractérise ce tome qui nous offre enfin la transition et la rédemption attendue pour notre héros écorché vif : Eros.



Nicky Lee n’y va pas avec le dos de la cuillère quand elle décide de faire évoluer son couple principal. Utilisant l’addiction d’Eros et son sevrage, elle fait emménager Lele chez lui pour que cette proximité forcée déclenche quelque chose et ce sera le cas. Mais plutôt que de jouer sur le côté sexy de ce rapprochement, ce qu’elle aurait pu faire, elle joue la carte du drame familiale et des plaies à panser. J’ai largement préféré.



Certes l’autrice va beaucoup trop vite dans sa narration, sautant un nombre d’étapes pharamineux, rendant cela un peu trop mélodramatique en mode « Amour, gloire et beauté », mais le résultat est là et la transition entre le Eros qui semble indifférent à tout et le Eros qui s’ouvre sur ses traumas est touchant. Avec une héroïne qui aime les bad boys en perdition, c’était sûr qu’elle allait plonger dedans.



Alors oui, il y a des dialogues écrits avec les pieds qui auraient dû être plus sensibles, parce que l’humour de l’autrice craint un peu et casse l’ambiance. Oui, il y a toujours ce travers d’une Lele trop soumise aux désirs de celui qu’elle aime, mais impossible de rester de marbre face à la peur de l’abandon d’Eros qui éclate au grand jour et dévoile ses origines. Cette plongée (rapide) dans son passé était nécessaire et fut touchante, et en fan de romance, ce pourquoi beaucoup lisent cette série, on ne peut que être content du dénouement, enfin !



Le tome de la guérison ! Bien qu’il fut une fois de plus écrit assez maladroitement, les intentions sont là et on est ému face à ce nouveau Eros qui se dévoile, plus fragile, plus à fleur de peau, qui ose montrer ses peurs. Lele a brisé la coquille a force de gentillesse et de courage. Le chemin a été long mais la récompense est là. L’autrice a mené son mélodrame comme il faut de bout en bout. Reste maintenant à s’attaquer au volet Angus, ça ne va pas être simple.
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The one, tome 12

Ce tome est une lutte pour que Yin/Eros s'en sorte, et c'est très dur moralement. Léo est hyper émotif, tandis que Teng Lélé ne veut d'abord plus rien savoir de lui, avant de se rendre compte que c'est plus complexe, et faire un choix très difficile.



De plus, la présence de Taylor dans ce tome fait plaisir, et nous en apprendrons plus sur Feidna, et sa relation avec Yin/Eros.







Ils ont aussi cette façon de vouloir tous cacher certains éléments, de mentir pour différentes raisons



Série à la fois addictive, terrible, violente et monstrueuse par moment.

Mieux vaut qu'on vive tout cela de loin.
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The One, tome 11

Le jeu de dupes auquel nos frères doivent se livrer est abjecte, et découvrir toutes ces immondices derrières ce genre de personnes encore plus. Mais la société et les gens peuvent être bien cruels, bien que certains soient très ambigus. Aucune aide ne se fait sans en payer le prix, avec argent ou avec son corps.

Nos deux frères fomentent chacun leurs plans, qu'ils mettent à exécution. Quel en sera le résultat ? A vous de lire. Ils doivent à tout prix échapper à l'emprise malsaine de leur père, mais tous les deux.

Tout n'est que complot, manigance, utiliser l'autre, s'en servir, sous la luxure se cache bien de vilains secrets. Mais normalement, ils doivent rester cacher.



Lélé quant à elle a fait forte impression sur Devereau et poursuit sa carrière. Aujourd'hui, elle sait ce qu'on attend d'elle, se releve, et évite les pièges ou au moins rebondit dessus.

Elle a beaucoup évolué depuis qu'on la connaît. Elle dégage quelque chose en tant que mannequin.

Hors de son travail, elle redevient la Lélé que nous connaissons et aimons.



Le passé ténébreux des frères et cet horrible épisode qu'ils vivent ne va en rien simplifier leur relation avec Lélé, surtout qu'ils sont comme souillés.

Heureusement que Lélé est là pour qu'on ait des moments où la tension soit relâchée.



En tout cas, c'est addictif ! Et on se prend dans ses filets.

Vengance et carrière de mannequin sont au menu du jour.
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The one, tome 12

Addiction toujours belle et bien présente dans cette suite qui nous permet de sortir la tête haute de l’arc précédent mais de découvrir aussi le poids de la vengeance.



Dans cette dynamique toujours aussi portée sur l’exagération mais rappelant aussi les ravages des histoires de familles toxiques telle qu’on avait pu le voir dans Banana Fish, nous retrouvons un Eros qui a réussi à aller au bout de sa vengeance et un Angus qui réussit à jouer à cartes égales avec son père, mais chacun va devoir affronter les conséquences.



J’ai apprécié qu’on revienne à New York et qu’on s’éloigne enfin de ce passage de l’histoire où chacun vivait sa vie de son côté. L’autrice rassemble peu à peu les personnages, mettant en scène des retrouvailles complexes mais attendues. Ainsi, Eros revient et retrouve Lele mais ce n’est pas si simple quand on a été drogué de force pendant des mois. L’autrice met donc en scène de manière crue et violente la désintox forcée et artisanale du héros avec l’aide de son père adoptif et de sa charmante voisine.



Bien que proposant une dynamique de ce qu’on a connu, les retrouvailles Lele-Eros étaient attendues et tiennent leurs promesses. L’autrice nous redonne cette dynamique chien-chat qu’on aime tant et qui fonctionne si bien pour eux. C’est tragique et en même temps amusant de les retrouver dans ces circonstances. C’est plus problématique du côté d’Angus, qu’on ne voit pas encore trop. Je n’aime pas du tout la façon dont est présentée sa relation forcée avec Ulysse, d’abord on dirait deux amoureux mais on se rappelle ensuite que ce n’est que contrainte et le malaise nous rattrape vite. Je m’interroge sur la façon dont l’autrice va faire évoluer ça et j’ai quelques craintes, car je n’aimerais pas une transformation en romance façon « syndrome de Stockholm »…



Nous avons cependant eu droit ici à de beaux moments émouvants, du retour d’Eros, jusqu’à la déclaration de Lele quand il se met en danger, en passant par l’abnégation de Taylor quand il l’apprend et le rejoint. L’autrice sait comment nous toucher et nous émouvoir et tant pis si on est toujours dans une exagération plus accrue à la mode de ces soaps américains qui ont fait le succès des programmes télé matinaux français.



C’est donc avec une forme de plaisir coupable que je continue à suivre ces aventures totalement surréalistes où les pères hommes politiques drogues leurs fils, où ceux-ci se sevrent seuls, où les relations toxiques ne posent pas autant problème que ce qu’elles devraient sous prétexte de vengeance. L’addiction est là à la lecture mais les problèmes moraux également avec une héroïne trop soumise aux désirs du héros et des héros qui ont trop la figure du « bad boy » cliché.
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The One, tome 11

Le virage de la série dans le roman noir, roman de société dénonçant les travers d’une haute société horrible avec ses enfants remplit toutes ses promesses dans cette sombre et percutante.



Nous avions laissé Eros aux mains de son père, ayant sauté volontairement dans le piège tendu par celui-ci pour libérer son jeune frère Angus, bien plus fragile. En plus Amour, Gloire et Beauté, Nicky Lee nous passionne bien malgré nous pour les déboires de ces deux âmes en peine : le premier étant drogué de force et transformé en gigolo pour les ambitions politiques de son père ; le second s’étant vendu à l’ennemi économique de son père pour pouvoir avoir le pouvoir de le menacer et sauver son frère. C’est sombre, très sombre.



Pour autant, le récit est toujours hyper entraînant, alors que clairement il a basculé dans un versant vraiment exagéré où l’autrice a poussé bien loin les problèmes de ces deux frères. C’est surréaliste mais le lecteur est happé parce qui se passe. On a envie de voir Eros renverser la table et troubler les plans de son père, vengeant ce que son frère a subi autrefois. On a envie de voir Angus gagner en force et pourvoir jouer à égalité avec eux. Le récit des troubles des deux frères sont vraiment le coeur de ce tome et ça fonctionne très bien.



Heureusement Lele n’est pas fondamentalement oubliée et ce sera la dose de fraîcheur dont on aura besoin dans toute cette noirceur, car clairement Angus et Eros vont très loin dans les ténèbres de leur famille. C’est assez horrible et profondément dérangeant de les voir chacun jouer les gigolos, offrant et souillant leur corps, pour satisfaire leur besoin de vengeance. Lele, elle, au moins poursuit son rêve avec succès, et si l’autrice passe bien trop vite dessus, on est heureux de la voir réussir et briller sur les planches, grâce à sa rencontre clé avec Deveraux, sorte de Lagarfield imaginé par Nicky Lee. Les planches sont alors lumineuses, de toutes beauté et très très classe.



Avec un équilibre étrange entre sombre histoire de vengeance familiale et ascension fulgurante permettant de réaliser un rêve, là où l’autre s’est brisé, l’autrice propose une lecture addictive certes bien trop surjouée pour être crédible un instant, mais qui donne envie de tourner et tourner les pages pour voir si cette vengeance va bien s’accomplir. Avis aux amateurs de lectures classiques mais addictives.
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