C’est une question de tempérament, dis-je. Je suis journaliste et, de ce fait, familiarisé avec le drame quotidien. Je ne puis donc ressentir une émotion violente en apprenant l’assassinat d’une personne que je n’ai jamais approchée à moins de trois mètres.
Les officiels, dis-je, ont pour principe de faire transpirer les gars. Après tout, le parcours n’est que de quatre milles, et la plupart des concurrents sont fort capables de franchir la ligne d’arrivée, frais et dispos. Quant aux officiels, ils n’aiment pas voir les gars finir la course les doigts dans le nez.
N’empêche que ce n’est pas le moment de s’endormir. Les derniers incidents avaient un côté comique, j’en conviens, mais les apparences sont peut-être trompeuses. Vennell n’est pas un philanthrope ; il en veut pour son fric. C’est un joueur astucieux. S’il t’a payé cinq sacs, c’est pour quelque chose.
Dans son essence, on peut définir l’amour comme une émanation subtile, je dirais même impondérable…
C’est toujours passionnant, les grandes compétitions universitaires. C’est plein de rythme.
C’est comme si tu me disais que le whisky n’a rien à voir avec l’eau de Seltz. C’est pourtant avec l’eau de Seltz que l’on boit généralement son whisky.
On dit que l’amour ne connaît pas d’obstacles.
Il y a tant de gens qui aiment mentir, fit-il presque de bonne humeur, que c’est le chiendent pour découvrir la vérité.
La Californie va gagner par trois longueurs. Suffit d’avoir le fric, on est sûr de ne pas être paumard.
Un homme ça se débrouille mieux qu’une fille