Bof, bof, bof, je n'ai pas du tout été emballé par cet BD qui à mon goût été vraiment très mauvais genre.
En effet, nous suivons une bande de 6 gamins qui sont à la recherche de la mort, et celle-ci est complétement stigmatisée, elle n'est plus grave et n'est plus importante et en plus elle est dirigée par une personne qui s'en occupe et qui décide de prendre des vacances.
Je n'ai pas aimé car je pense que l'on peut rire de tout mais qu'il y a des barrières à ne pas franchir, il m'arrive de rire de la mort mais je pense que ce n'est pas le genre de chose que l'on peut se permettre avec des enfants.
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Screwy inquiète les copains qui ne le reconnaissent plus. Il veut faire ses devoirs, jouer au Monopoly, détale à la vue d’une fiole de sang et ne veut plus dépecer des chats. Mais c’est affreux !!! il n’est pas normal, ou il est peut-être TROP normal. Que faire ?
La bande, influencée par Larry, décide de liquider Screwy (couic) et de le remplacer par une créature fabriquée à la clinique de l’oncle Domostein. C’est super chouette !
Alors que la terre est encore toute meuble, que les fleurs recouvrent la stèle, Screwy est accompagné par la mort pour prendre le train du Styx, mais deux chemins se présentent à eux, enfer, paradis. Quelle direction prendre ? c’est bien embêtant, la mort ne sait pas où envoyer le jeune garçon…
"… un copain qui fera tout ce qu’on lui dit. On pourra le torturer à loisirs, il obéira à tout ce qu’on lui dira… et il sera toujours content !"
Ce que Larry ne sait pas, c’est que l’aimable assistance de son oncle cache une autre aspiration. Domostein veut se venger de son neveu et il n’a pas trouvé mieux que de lui offrir le cerveau de Freddy Bruegger pour sa créature, le clone de Screwy.
D’un côté, la bande court vers des catastrophes, de l’autre, le pauvre Screwy ne trouve pas sa place dans l’univers de l’au-delà. Il pourrait même devenir un fantôme et revenir hanter ses "supers" copains… Quant à Larry, lui qui désire être le maître du monde, il trouvera plus épouvantable que lui… grand bien lui fasse !
Quelle bande de petits monstres insupportables !
Deadly Speak, Killit, Screwy, Larry, Dollface et Anesthesia sont la progéniture de vampires, de sorcières, d’un prêtre vaudou et d’un savant fou.
Deuxième tome de leurs bêtises, ils n’ont pas hésité à trucider leur copain qui n’était plus rigolo… et c’est horriblement incorrect, drôle, déjanté. L’humour est noir.
Beaux dessins, belle colorisation, bonne dynamique, personnages expressifs, on peut dire que j’ai tout aimé… sauf une chose !!! La petite Killit aime martyriser les chats, et ça, je ne le supporte pas.
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Voilà une bonne dose d'humour noir dans un graphisme sympa et aboutis. Complètement loufoque, et absurde, on suit très facilement ces petites monstres à la recherche de la mort disparue depuis quelques jours : comme quoi celle-ci reste indispensable ! Une bande-dessinée peu connue qui vaut pourtant le détour des adeptes du genre.
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Il fallait oser traiter d'un sujet aussi sérieux et inéluctable que celui de la mort, dans une BD pour enfants, de manière humoristique, tout en insérant de nombreuses références mythologiques (Cerbère, Styx, Baal, etc.).
C'est plutôt réussi, pas de quoi prendre peur non plus !
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Toujours aussi loufoque que le premier tome. Screwy est si charmant !
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