Aniplex

LE PORTRAIT DE PETITE COSETTE relate la terrible rencontre d'un jeune antiquaire passionné de dessin et d'un verre en cristal. Si mon résumé vous amuse, profitez-en bien. On ne rit pas longtemps avec ce manga ! Nous plongeons ici dans une vieille histoire du XVIIIe siècle où amour, peinture et désir ne font pas bon ménage. Et plus notre héros avance dans son enquête pour démêler ses hallucinations du réel, plus le piège se referme ! Récit court et haletant, illuminé par le délicat chara-design de Asuka KATSURA - qu'on voit trop peu dans nos libraires - ce manga nous trouble par l'intensité des émotions qu'il dégage et par son implacable fatalité.
Lien : http://chezolivres.blogspot...

Je continue mon opération relecture de mes vieux manga oubliés pour faire de la place dans ma bibliothèque avec ce nouveau titre en deux tomes.



Vous vous en doutez peut-être en voyant que je chronique les deux tomes en même temps, je n’ai vraiment pas grand-chose à dire sur ce manga. Il n’y a pas d’évolution d’un tome à l’autre alors je préfère donner mon avis en une seule fois plutôt que de faire des articles qui se ressembleront forcément.



J’ai ce manga depuis une éternité, car je l’avais acheté dès sa sortie en 2008. À l’époque j’aimais beaucoup le travail des éditions Asuka et je n’étais donc pas très regardante sur les scénarios ; j’avais une entière confiance en leur choix. Mais il faut une exception à toutes les règles.



Ce manga n’a vraiment rien d’extraordinaire. Il résulte de l’adaptation en format papier d’un OAV qui a eu énormément de succès lors de sa sortie, mais cette adaptation est ratée. En effet, le dessin n’est vraiment pas terrible, il manque cruellement d’originalité et si certains détails sont soignés c’est au mépris des autres (des contours pas très nets par exemple). C’est dommage, car la dessinatrice s’efforce de maintenir l’ambiance gothique qui avait fait le charme de la version animé. Pour ne rien améliorer, les textes narratifs se voudraient poétiques, mais ne veulent en fait rien dire. La narration en devient confuse et suivre le déroulement du récit devient un parcours du combattant. Ce n’est pas beau à voir et ça devient pire quand l’éditeur choisit une typographie peu lisible, notamment au début du premier tome…
Lien : https://belykhalilcriticizes..

Cosette est une jeune fille qui ère dans le monde des vivants en apparaissant auprès d’hommes, qui deviennent ses proies afin d’essayer de se sortir d’une terrible malédiction. Elle fut peinte par le passé par un homme qui la trouvait d’une beauté exceptionnelle et rayonnante. Ce peintre Marcello devint fou, c’est ce qui causa sa mort. Elle n’a donc d’autre choix que de trouver un homme prêt à tout pour elle. Nous la voyons donc apparaître aux yeux du jeune Kurahashi, qui la voit quand elle décide de se montrer comme un flash ou une vision. Elle lui demande son aide pour rassembler ses écrins qui ont été possédés à l’époque où elle était encore vivante. En attendant, ceux-là attirent le malheur et gare à ceux qui les croiseraient, ils pourraient se suicider ou être accidentés. Cosette attend donc de ce jeune homme qu’elle a pris pour cible, qu’il la sauve de cette éternité à laquelle elle est condamnée.



Je n’ai pas accroché avec cette histoire trop farfelue et glauque à mon goût. Les dessins ne m’ont pas vraiment emballés non plus.. c’était donc une déception qui s’est véritablement confirmée lorsque j’ai entamé la lecture du second tome.
Lien : https://www.instagram.com/p/..