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EAN : 9782081495616
240 pages
Flammarion (08/01/2020)
4.11/5   470 notes
Résumé :
Samaa vit dans un monde qui pourrait être le nôtre dans quelques siècles. La vie a presque entièrement disparu de la surface de la Terre.
Le sable a tout dévoré.
Elle appartient à une tribu nomade. Pour survivre, son peuple traque les derniers arbres et vend leur bois.
Samaa aimerait être une chasseuse, elle aussi, mais c'est une charge d'hommes.
Alors, un jour, elle désobéit et suit les chasseurs.
Mais le désert a mille visage... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (187) Voir plus Ajouter une critique
4,11

sur 470 notes
Si ma petite-fille Jeanne ne m'avait pas parlé de Marie Pavlenko, son auteure préférée, je n'aurais sans doute jamais lu Et le désert disparaîtra et cela eut été dommage tant j'ai apprécié ce bouquin, véritable fable écologiste !
Samaa, 12 ans vit dans un monde devenu un désert, un monde post-apocalyptique où la vie a presque entièrement disparu de la surface de la Terre, un monde qui pourrait être le nôtre, très vite, si nous ne changeons pas notre rapport à la nature. Son peuple, nomade, survit en traquant les derniers arbres, pour pouvoir ensuite négocier le précieux bohis, l'arbre coupé, contre de l'eau gélifiée, de l'oxygène en bouteille, de la nourriture, des médicaments… Seuls les hommes, les chasseurs peuvent assumer cette tâche et pour cela, ils doivent aller de plus en plus loin pour débusquer ces arbres isolés. Samaa n'a qu'un rêve, elle ne veut plus jouer le rôle qu'on lui a assigné, elle veut faire partie des chasseurs et rit des conseils de l'Ancienne lui demandant de les empêcher de tuer les arbres. Aussi, quand les chasseurs vont repartir, va-t-elle tenter sa chance en les suivant de loin d'abord, espérant ensuite se rapprocher lorsqu'ils seront suffisamment éloignés pour qu'ils soient obligés de la garder avec eux. Mais c'est oublier que le désert a mille visages et elle se perd…
Elle fera alors une rencontre qui changera sa vie à jamais comme celui de sa tribu.
Si Et le désert disparaîtra est un magnifique roman d'aventure et d'apprentissage, il est aussi bien plus que cela !
Dans ce roman, Marie Pavlenko développe plusieurs thèmes dont le respect de l'environnement est le principal, la préservation de la nature étant indispensable pour la survie de l'espèce humaine. Avec cette jeune ado rebelle, elle montre qu'avec du courage et de la détermination, il est possible de changer son destin et peut-être d'en inventer un meilleur pour la communauté. Elle évoque aussi tout le poids des traditions, certaines pouvant être une richesse, la place de la femme dans la société et développe surtout une profonde réflexion au lien qui nous unit à la nature.
Ce livre, empli de poésie est en effet une véritable ode à la préservation de la nature.
Le lecteur s'identifie rapidement à l'héroïne, voit, sent, touche et ressent comme elle. La trouée, l'oasis dans laquelle Samaa se retrouve, est magnifiquement décrite, les sentiments de l'ado transcrits avec finesse et justesse, le tout dans un style simple et efficace. La personnification des éléments naturels et les monologues que Samaa entretient avec eux sont particulièrement réussis, de même que le suspense maintenu de bout en bout.
Et le désert disparaîtra est également un superbe éloge aux livres et à la lecture. le roman ne débute-t-il pas et ne se termine-t-il pas d'ailleurs par la lecture du Livre ?
Marie Pavlenko en profite même, au cours du récit, pour faire un clin d'oeil humoristique avec cet apprentissage de lecture autour d'un livre de recettes !
Ce livre classé roman-jeunesse mérite une audience plus large. Il peut et devrait être lu par tout un chacun tant le message délivré devrait être entendu par tous, à commencer par nos dirigeants. Il faudrait commencer par entendre le message délivré à Samaa par l'Ancienne : « l'avenir n'existera qu'avec les arbres, petite ! », message que nous avons nous aussi oublié et qui pourrait être une première recette simple face au réchauffement climatique déjà bien installé.

Lien : https://notre-jardin-des-liv..
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Reçu dans ma boite aux lettres, cadeau de mon amie Mel.

Quand j'ouvre un livre dont je ne sais rien, je n'ai aucun à priori, je me laisse porter ; le laisse m'emporter. Et une seule envie, être cueillie.
Et, pour être cueillie, je l'ai été. Au delà même de mes espérances. Cette fable m'a transportée, éblouie, chamboulée.

Pourtant, je dois dire que, rétrospectivement, elle avait peu pour me plaire :
. C'est une dystopie et je ne suis pas versée dans ce genre que j'associe à la SF à laquelle je n'adhère généralement pas car elle dépeint souvent un monde dont je ne comprends pas les codes et que je n'ai pas envie de connaître.
. Sur le plan de l'action, rien de remarquable et les faits s'installent avec lenteur, sans coups d'éclat.

Deux arguments de poids pour ce qui me concerne et qui auraient pu aisément me faire passer à côté de ce livre si Mel ne me l'avait offert.
Deux "arguments" qui, finalement, n'en sont pas car :
. cette dystopie fait écho à ce qui me préoccupe dans ma réalité quotidienne ; à une échéance que je redoute, la sentant se rapprocher inexorablement. Et cela en raison de l'inconscience, le consumérisme, l'égocentrisme forcené, l'ignorance volontaire, l'étroitesse d'esprit, propres à une trop grande partie des humains dont la devise pourrait être "Après moi, le déluge !".
. quant à l'action, nous ne sommes évidemment pas dans un polar mais cette action est là et bien là. Elle s'installe lentement, avec patience et persévérance ; des vertus propres à Dame Nature. Et j'étais à des lieues de m'imaginer qu'un tel rythme piano aurait pu me procurer ce flot d'émotions.

Il est vrai que ma sensibilité pour la cause animale et mon attachement à la nature étaient un terrain favorable pour accueillir ce livre. Sans être une extrémiste sur le sujet, je suis comme le petit colibri qui participe à éteindre l'incendie en transportant des gouttes dans son bec : "Je fais ma part".

Dans mon jardin, aucun produit chimique de quelque ordre que ce soit. La nature s'exprime et s'épanouit comme elle le veut. Nos arbres fruitiers (cerisier, pruniers, mirabellier, abricotier, figuier, poirier, pommiers, vigne, fraisiers, framboisiers) nous donnent leurs fruits au rythme des saisons. Leur production fluctue selon les aléas de la météo. Aucun "forcing" de notre part, nous n'intervenons pas et nous satisfaisons de ce qu'ils nous offrent. D'autant que nous devons partager avec les oiseaux et autres bestioles du jardin qui se servent allègrement et sont, souvent, plus rapides que nous. Mais nous l'acceptons de bonne grâce.

Notre petite terrasse sous la glycine ne paraîtra jamais dans un magazine style "Maisons et jardins".
Elle est un joyeux foutoir avec ses gamelles d'eau où s'ébattent les merles ; de graines pour les tourterelles et petits piafs ; de pâtée pour une petite chatte errante qui me gratifie chaque jour de ses ronrons et de ses caresses ; de croquettes qui, à ma grande surprise, font le bonheur du hérisson tout rond qui a élu domicile sous l'énorme pied de glycine et en sort chaque soir tombé pour venir s'y sustenter ; et ses deux transats totalement défraîchis que se sont accaparé mes deux chats pour y buller toute la journée.

C'est un réel bonheur pour moi d'ouvrir, chaque matin, mes fenêtres et jouir de ce spectacle de vie, de plénitude et de paix. Et je me désole à l'idée que ma petite-fille de quinze mois ne puisse connaître cette vérité, cet essentiel.
Voilà pourquoi cette fable écologique - de plus, fort bien écrite - a eu une telle résonnance dans mon coeur et mon esprit.
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Lu en audio. Très joli conte pour un public jeune, préadolescent. On est immergé dans un univers assez terrible où l'eau, comme beaucoup d'autres choses, est devenue une denrée rare. Surtout pour les populations vivant en dehors de la grande ville.
Pour se la procurer, ainsi que l'oxygène nécessaire à la vie, il faut la monnayer à cette dernière en échange de bois... récupéré sur les derniers arbres terrestres...
Cercle vicieux.
A partir de là, on va suivre la narratrice, une jeune fille courageuse et émancipée, dans son cheminement vers une plus grande compréhension des cycles de la vie.
C'est bien écrit, simple et démonstratif. C'est une lecture qui gagne à être réalisée à voix haute si j'en juge par la très belle performance de Delphine Cogniard.
Certains trouveront peut être cette fable simpliste, mais qu'ils y réfléchissent avant d'être contraints de la raconter "pour de vrai" à leurs petits enfants.
En attendant, j'ai apprécié ce livre et le conseille fortement.
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Samaa vit avec les siens dans une tente, dans l'immense désert qu'est devenu la terre. Certes, des villes existent encore, mais elles sont pour des privilégiés qui consument le peu de nature qui restent. La tribu de Samaa vit de la chasse…. Ils chassent les rares arbres qui existent encore, qu'ils échangent contre de l'oxygène et de l'eau gélifié enrichi, avec les gens de la ville.

Ils sont obligés de s'enfoncer de plus en plus dans le désert pour découvrir le peu d'arbres existants.

Seule, l'Ancienne ose traiter les chasseurs d'assassin, elles les asticotent sans cesse. Elle, elle sait qu'il faut préserver les arbres, sinon tous les humains disparaîtront, mais peu l'écoutent. Ils pensent qu'elle fabule.

Samaa, lors de la prochaine chasse se prépare à les accompagner. le jour J, elle récupère son sac qu'elle a préparé et suit de loin les chasseurs. Malheureusement, elle les perdra et se perdra.

Elle se retrouvera au fond d'une faille. Elle va découvrir un arbre, ainsi qu'une mare d'eau. En plus d'une drôle de compagnie.

Elle va faire la connaissance avec l'arbre, elle cherchera à comprendre comment il survit. Elle suivra ses racines. Elle comprendra qu'elle est à l'abri du soleil cuisant grâce à lui, elle luttera contre le froid, grâce à la paillasse qu'elle fera des branches et des feuilles, elle n'aura plus besoin de l'eau gélifié, elle a de l'eau pour assouvir sa soif. Elle connaîtra la pluie, pour la première fois de sa vie.

Mais, jour après jour, les barres énergétiques dont elle se nourrit, diminuent.

Comment sortira-t-elle de ce gouffre ? et comment réagira sa tribu ?

Un véritable hymne à la nature. Une rencontre entre une jeune fille et un arbre. Quoi de plus poétique ?

Magnifique ! Ce livre est dédié à la Jeunesse de 9 à… 99 ans et plus.
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J'aime toujours autant la plume de Marie Pavlenko ! L'auteure sait toujours jongler entre poésie, messages engagés, émotions, douceur et délicatesse. Cette fois-ci, elle nous plonge dans un monde post-apocalyptique où le désert a envahi la Terre. Les humains restants n'ont pas connu la vie d'avant. Ils ignorent ce que sont les forêts, les lacs, les animaux, les livres, l'oxygène et l'électricité. En outre, ils ne se posent pas de questions. Hélas, leur vie est particulière : ils respirent un air spécial, évoluent dans un désert stérile, consomment des barres protéinées et de l'eau gélifiée. Dans de telles conditions, survivre est difficile. D'ailleurs, les nouveaux nés ne survivent généralement pas. Dans cette étrange communauté de nomades, les fonctions sont établies dès la naissance. Chacun a sa place dans le camp et les personnes jugées trop vieilles pour participer sont rejetées. Voilà un univers effroyable dans lequel je n'aimerais pas mettre les pieds ! Bien que j'aurais aimé en savoir plus, notamment sur les grandes villes, j'ai été ravie de découvrir la tribu de la jeune Samaa. Avec une narration juvénile, parfois agaçante mais franche, cette dernière nous présente son monde, sa perception de la vie d'antan et d'aujourd'hui et ses rêves de devenir une chasseuse. Oh, non, pas une chasseuse d'animaux… Ces derniers sont rarissimes et ne sont pas bons à manger ! Samaa veut devenir comme son père et son ami Solas : une chasseuse d'arbres !

Très vite, on comprend que les Hommes sont responsables de leur propre perte (ce qui ne change pas si on regarde notre propre monde)… En effet, pour acheter des rations et divers objets permettant de survivre, le clan de Samaa va débusquer les rares arbres pour les abattre, puis les vendre. L'Ancienne du village, une vieille femme exilée, les a pourtant avertis : la nature donne la vie. Après avoir bravé l'interdit en endossant le rôle d'un Homme (le « sexe faible » n'a pas le droit d'être chasseur), notre jeune héroïne va découvrir les secrets du désert, faire face aux créatures qui y vivent, puis va tomber nez à nez avec Naïa. Cet arbre ébranlera ses certitudes, puis changera radicalement sa vision des choses. Avec brio, Marie Pavlenko propose un texte fort : on est dans les sensations et l'émotion. Il est aisé pour le lecteur d'imaginer ce monde désertique ainsi que l'épopée de l'adolescente. On identifie les bêtes croisées, on se questionne sur l'avenir de la demoiselle et on se demande si les choses vont redevenir comme autrefois. J'ai été touchée par les comparaisons ingénues mais adorables de Samaa, notamment lorsqu'elle parle de l'arbre ou de Tewida-les-yeux.

En plus d'être féministe et écologie, cette ode à la vie m'a fait passer un très bon moment de lecture. Cela dit, je pense que cela ne plaira pas à tous les lecteurs, car le rythme du récit est très lent. L'onirisme est ultra-présent ! Il ne se passe rien de plus que ce qu'indique le résumé. Si la lenteur de ce conte ne me dérange pas, je regrette que l'on n'approfondisse pas plus certains éléments ou que l'on propose plus d'action ! Toutefois, ce n'est pas grave : le message est passé et j'ai été bercée par le son des dunes…
Lien : https://lespagesquitournent...
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critiques presse (1)
LeSoir
20 janvier 2020
Avec « Et le désert disparaîtra », Marie Pavlenko offre une histoire forte, envoûtante et sensible sur nos atermoiements climatiques.
Lire la critique sur le site : LeSoir
Citations et extraits (64) Voir plus Ajouter une citation
Je croyais connaître le désert mais j’en découvre la complexité. Il est ocre, rouge, orangé, pâlot ou profond, il est illuminé par le soleil et terni par la nuit, il est bas, haut, plat, il est sablonneux ou couvert de caillasses, ses plis se resserrent pour former d’énormes collines, il se déchire, s’ouvre en deux, et de longues crevasses le nervurent avant de se refermer comme des plaies.
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Et il a ouvert le livre.
C’était bourré de lettres, les mêmes qu’il m’avait appris à déchiffrer, mais ici, elles étaient minuscules et il y en avait beaucoup. On s’est mis à lire. C’était ardu.
Pourtant, petit à petit, des mots sont nés. Je ne les comprenais pas tous, loin de là, mais j’aimais leur musique. Certains étaient longs et touffus, d’autres secs, ronds, creux, doux ou élancés. Et même si aucune image n’apparaissait dans ma tête quand je les prononçais, j’essayais d’imaginer ce qu’ils pouvaient être, rien qu’à leur sonorité.
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J’ai un souvenir très net du choc ressenti lorsque j’ai déchiffré mon premier mot. TA-BLE. À l’instant précis où je l’ai lu en bégayant, une table a jailli dans ma tête. Cette table existait, et en même temps, n’existait pas.
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J’écoute le silence. Je n’y suis pas habituée. Au campement, le son est partout. Les tentes occultent la vue, mais laissent passer le reste : les disputes, les éclats de voix, les rires, les caresses, les respirations lourdes et les ronflements, les discussions à voix basse. L’intimité transpire à travers le tissu.
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Les nuages glissent dans le ciel. Brusquement, je les regarde mieux et j'y vois des choses : des visages monstrueux avec des cornes et plusieurs oreilles, des nez, des mentons pointus, des jambes arquées, une bête munie d'un cou qui n'en finit pas, un bâton enflammé, un vieux qui boude, une main à sept doigts, une Tewida avec moins de pattes, un arbre, une femme qui danse, , un bébé au corps ramassé avec une énorme tête.
Pourquoi les nuages ne me rendent ils pas visite plus souvent ? Ils sont si drôles !
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Vidéo de Marie Pavlenko
Avec Marc Alexandre Oho Bambe, Nassuf Djailani, Olivier Adam, Bruno Doucey, Laura Lutard, Katerina Apostolopoulou, Sofía Karámpali Farhat & Murielle Szac Accompagnés de Caroline Benz au piano
Prononcez le mot Frontières et vous aurez aussitôt deux types de représentations à l'esprit. La première renvoie à l'image des postes de douane, des bornes, des murs, des barbelés, des lignes de séparation entre États que l'on traverse parfois au risque de sa vie. L'autre nous entraîne dans la géographie symbolique de l'existence humaine : frontières entre les vivants et les morts, entre réel et imaginaire, entre soi et l'autre, sans oublier ces seuils que l'on franchit jusqu'à son dernier souffle. La poésie n'est pas étrangère à tout cela. Qu'elle naisse des conflits frontaliers, en Ukraine ou ailleurs, ou explore les confins de l'âme humaine, elle sait tenir ensemble ce qui divise. Géopolitique et géopoétique se mêlent dans cette anthologie où cent douze poètes, hommes et femmes en équilibre sur la ligne de partage des nombres, franchissent les frontières leurs papiers à la main.
112 poètes parmi lesquels :
Chawki Abdelamir, Olivier Adam, Maram al-Masri, Katerina Apostolopoulou, Margaret Atwood, Nawel Ben Kraïem, Tanella Boni, Katia Bouchoueva, Giorgio Caproni, Marianne Catzaras, Roja Chamankar, Mah Chong-gi, Laetitia Cuvelier, Louis-Philippe Dalembert, Najwan Darwish, Flora Aurima Devatine, Estelle Dumortier, Mireille Fargier-Caruso, Sabine Huynh, Imasango, Charles Juliet, Sofía Karámpali Farhat, Aurélia Lassaque, Bernard Lavilliers, Perrine le Querrec, Laura Lutard, Yvon le Men, Jidi Majia, Anna Malihon, Hala Mohammad, James Noël, Marc Alexandre Oho Bambe, Marie Pavlenko, Paola Pigani, Florentine Rey, Yannis Ritsos, Sapho, Jean-Pierre Siméon, Pierre Soletti, Fabienne Swiatly, Murielle Szac, Laura Tirandaz, André Velter, Anne Waldman, Eom Won-tae, Lubov Yakymtchouk, Ella Yevtouchenko…
« Suis-je vraiment immortelle, le soleil s'en soucie-t-il, lorsque tu partiras me rendras-tu les mots ? Ne te dérobe pas, ne me fais pas croire que tu ne partiras pas : dans l'histoire tu pars, et l'histoire est sans pitié. »
Circé – Poèmes d'argile , par Margaret Atwood
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