Quelquefois, en sortant de tes bras, repue de toi mais ayant toujours le désir de toi, je réfléchis et je me dis qu'il est impossible que nous n'usions plus un jour de notre chair comme nous en usons car nos coeurs et nos sens sont si bien accordés qu'il est impossible que nous puissions ne plus nous aimer. A cause de ce que nous avons fait ensemble, nous ne pourrons plus nous séparer et les chaînes dont nous sommes chargés ne nous pèseront point.
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