Et déjà je m'efforçais d'imiter les mouvements d'un oiseau en agitant alternativement les bras, mais pas le moindre duvet, pas la plus petite plume nulle part, au lieu de cela, mes poils s'épaississent et deviennent des crins, ma peau si tendre, se durcit et devient un cuir, aux extrémités de mes mains je ne sais plus combien j'ai de doigts, tous se ramassent en un seul sabot, et, au bas de mon dos pousse une immense queue.