Nice, enfin ! Chavane n’avait plus qu’à se rendre au bureau de la gare. De sa mallette, il sortait l’argent et la liasse des factures. Il échangeait quelques banalités avec Mattei.
Ce soir-là, quand il se rendit au local où il allait passer la nuit, juste en face de la gare, les étoiles brillaient avec tant de force que le ciel était comme un champ de bleuets.
— Je suis libre, dit Chavane à haute voix.