Dans le bureau de Sorbier, aucun bruit. Les deux ingénieurs traversent la pièce. La moquette étouffe leurs pas. Presque craintivement, Renardeau se penche par-dessus le corps, jette un coup d’œil.
« Il n’y a personne », dit-il d’un air stupide.
Il enjambe Sorbier, se risque dans le bureau, tandis que Belliard s’agenouille près de son chef. Renardeau se précipite vers la fenêtre. En bas, Legivre, déséquilibré sur son pilon, le cou tendu, attend.
« Vous n’avez vu personne ? jette Renardeau.
— Personne. »