Le coffre n’a pas été forcé », remarque encore Renardeau, et il hausse les épaules, tellement cette réflexion est sotte. Mais la moindre pensée est absurde. La vérité, c’est qu’on n’ose plus penser. Et pourtant, on ne peut empêcher les idées de surgir, une à une, et chacune ajoute au malaise, à l’angoisse.