Si Lucienne mourait, plus de problème. Si elle guérissait, il faudrait, après un temps convenable, l'amener à accepter le divorce, mais en s'y prenant autrement, d'une manière plus franche. Tout cela était un peu sordide, bien sûr. C'était des pensées de deux heures du matin, des bêtes de la nuit. (p.52 éd Folio)