Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 16/11/1937
Né(e) à : Paris , le 16/11/1937
Biographie :
Jean-Louis Boursin effectue ses études secondaires au lycée Augustin-Thierry de Blois et au lycée Descartes de Tours. Il est lauréat du concours général. Admis à l'École normale supérieure de la rue d'Ulm, il y est élève de 1958 à 1961.
Cette même année, il est reçu à l'agrégation de mathématiques, puis devient, en 1964, docteur ès sciences de la faculté de Paris. C'est à l'université de Toulouse qu'il commence sa carrière, comme assistant (1961) puis maître de conférences (1964).
Toujours en 1964, il est nommé maître de conférences à la faculté des sciences d'Orléans avant d'accéder, dans la même université, à la chaire de statistique.
Parallèlement, il occupe les fonctions de directeur de l'IUT d'Orléans (1968-1972) et de chargé de mission au cabinet du secrétaire d'État auprès du Premier Ministre pour les Relations publiques (1969-1971) puis pour la Jeunesse et les Sports (1971-1973).
En 1974, il est nommé professeur de statistique à l'Institut d'études politiques de Paris. Par deux fois, il est nommé recteur d’académie, à Reims de 1976 à 1981 et à Montpellier de 1986 à 1988.
Parallèlement, il développe de nombreuses actions didactiques : plus de 120 manuels scolaires de mathématiques, pour tous les niveaux de l’école élémentaire à l’université.
Il a conçu, réalisé et interprété plus de cent vingt heures de cours sur cassette vidéo, puis DVD pour la société TF1-Vidéo.
+ Voir plusJean-Louis Boursin effectue ses études secondaires au lycée Augustin-Thierry de Blois et au lycée Descartes de Tours. Il est lauréat du concours général. Admis à l'École normale supérieure de la rue d'Ulm, il y est élève de 1958 à 1961.
Cette même année, il est reçu à l'agrégation de mathématiques, puis devient, en 1964, docteur ès sciences de la faculté de Paris. C'est à l'université de Toulouse qu'il commence sa carrière, comme assistant (1961) puis maître de conférences (1964).
Toujours en 1964, il est nommé maître de conférences à la faculté des sciences d'Orléans avant d'accéder, dans la même université, à la chaire de statistique.
Parallèlement, il occupe les fonctions de directeur de l'IUT d'Orléans (1968-1972) et de chargé de mission au cabinet du secrétaire d'État auprès du Premier Ministre pour les Relations publiques (1969-1971) puis pour la Jeunesse et les Sports (1971-1973).
En 1974, il est nommé professeur de statistique à l'Institut d'études politiques de Paris. Par deux fois, il est nommé recteur d’académie, à Reims de 1976 à 1981 et à Montpellier de 1986 à 1988.
Parallèlement, il développe de nombreuses actions didactiques : plus de 120 manuels scolaires de mathématiques, pour tous les niveaux de l’école élémentaire à l’université.
Il a conçu, réalisé et interprété plus de cent vingt heures de cours sur cassette vidéo, puis DVD pour la société TF1-Vidéo.
Source : http://www.cndp.fr
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Troisième partie : opération algèbre
Surveillez vos feuilles de paie
Dans un pays où les salariés seraient payés quotidiennement pour le nombre d'heures qu'ils ont accompli, celui qui travaille cinq heures par jours et quatre heures le lendemain aura reçu le même salaire que celui qui aura travaillé seulement le deuxième jour pendant neuf heures. Si la CSG ampute les salaires de 10%, un couple avec deux salaires et un autre qui aurait le même revenu avec un seul salaire paieront le même tribut à la solidarité. C'est encore une relation de la forme :
f(x) + f(y) = f(x+y)
Qui traduit cette égalité. Il en irait différemment si la cotisation était plafonnée ou si elle ne s'appliquait pas dès le premier euro gagné.
Surveillez vos feuilles de paie
Dans un pays où les salariés seraient payés quotidiennement pour le nombre d'heures qu'ils ont accompli, celui qui travaille cinq heures par jours et quatre heures le lendemain aura reçu le même salaire que celui qui aura travaillé seulement le deuxième jour pendant neuf heures. Si la CSG ampute les salaires de 10%, un couple avec deux salaires et un autre qui aurait le même revenu avec un seul salaire paieront le même tribut à la solidarité. C'est encore une relation de la forme :
f(x) + f(y) = f(x+y)
Qui traduit cette égalité. Il en irait différemment si la cotisation était plafonnée ou si elle ne s'appliquait pas dès le premier euro gagné.
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