Encore une fois, je ne le connaissais pas, même si j'ai vu la partie la plus intime de lui-même se promener comme un clébard balèze balade son proprio, mais ça me fait quelque chose.
De la peine, ça c'est sûr, puis j'éprouve autre chose, sans mettre le doigt dessus.
De la colère, peut-être. Comment c'est possible de mourir aussi seul ? Elle est où, sa famille ?