Elle devait avoir des arguments convaincants de droit, puisque le TA (Tribunal Administratif) accordera une suite favorable à sa requête et annulera l'arrêté préfectoral de reconduite à la frontière pris trois jours plus tôt. Mais c'était trop tard. La préfecture l'avait déjà reconduite en Bulgarie, en violation incontestable, une fois de plus, d'une disposition légale.