Une lectrice m’accuse de partis pris. « A vous croire, m’écrit-elle, toutes les femmes seraient de fieffées salopes qui ne rêvent que de donner leur cul au premier venu. Si c’était vrai, ça se saurait. »
Et pourquoi ça se saurait-il, chère madame ? Vous écrivez bien : des salopes qui rêvent de donner leur cul. Pas des salopes qui donnent leur cul. Je ne prétends rien d’autre
Esparbec.