« Ce que j’aime tant chez Corot, c’est qu’il vous donne tout avec un bout d’arbre », dit un jour Renoir. L’homme et l’œuvre ne peuvent à l’évidence se résumer à cette boutade affectueuse mais elle donne deux mots essentiels pour les comprendre, la bonté et la nature.
…
« L’œil de Corot était un miroir liquide » écrit Elie Faure.
(Corot, la nature et le rêve, au Kunsthalle)