Magazine des Arts, n°5

« Ce que j’aime tant chez Corot, c’est qu’il vous donne tout avec un bout d’arbre », dit un jour Renoir. L’homme et l’œuvre ne peuvent à l’évidence se résumer à cette boutade affectueuse mais elle donne deux mots essentiels pour les comprendre, la bonté et la nature.
…
« L’œil de Corot était un miroir liquide » écrit Elie Faure.

(Corot, la nature et le rêve, au Kunsthalle)

Il porte depuis plus de vingt-cinq ans un regard désabusé sur la vie politique et sociale de la Chine moderne. «C’est pour cela que le fait de sourire, de rire pour cacher son impuissance a une grande importance pour ma génération ».
Yue Minjun.

Partout en France, régions ou villes, capitale ou coin perdu, le hasard sème sur la route du flâneur des centaines de musées inconnus, dédiés au mystère, à l’étrange ou à l’insolite. (Le Bestiaire fantastique du Musée Liais)

Baudoin-Dali (propos recueillis par Frédéric Bosser) :
- Vous êtes-vous basé sur ces écrits ?
- Non, pour la bonne raison que Dali mentait tout le temps.