Le piano, que tu savais faire résonner si délicieusement, est toujours clos maintenant, et moi, sans entrain et sans gaieté, je ne chante plus, je néglige mon jardin. Oh ! Gaétane, un mot !… un seul petit mot de toi me fera tant de bien ! Et si, un jour, tu peux revenir à Ségastel, n’oublie pas que tu causeras un immense bonheur à ton Alix, qui t’aime et t’embrasse avec toute l’ardeur de son cœur.