Durant quelques heures, quelques jours parfois ces iraniens nous livrent ce qu’ils ont sur le cœur, ce qu’ils ne confient généralement à personne.
Cette confiance, ces histoires, nous bouleverse le plus dur, c’est que nous ne les reverrons plus. Pour leur sécurité, nous avons décidé d’un commun accord de ne jamais les contacter. Nous avons l’impression de les abandonner.