– Ce que le Docteur Semacgus veut vous faire comprendre, c’est que le cadavre qui gît sous nos yeux possède une masse spécifique sans relation avec son appartenance à l’espèce humaine…
– Avez-vous considéré le visage du mort, Nicolas ?
– Il m’est apparu fripé et rétréci, semblable à ces têtes réduites figurées sur un ouvrage d’un père jésuite consacré aux peuplades sauvages des Indes occidentales.