Après Pavie et ses conséquences, il faut donner un nouvel élan à ce que les historiens appelleront ensuite « le second règne » de François Ier. Si le navire de Jacques Cartier peut, un temps, incarner les espoirs politiques d'un roi de France dont l'horizon italien se bouche progressivement,il s'abîmera très vite dans l'échec d'une expérience ultramarine dont la précarité nourrira – et pour longtemps – un puissance imaginaire.
Merci à Stefan Wul et aux autres de m’avoir montré une certaine voie au collège dans les rayonnages oubliés d’un CDI que j’estime toujours magique. Merci aux monstres, héros, dieux et créatures de l’ombre qui n’ont jamais cessé de m’accompagner depuis.
Ni le capitaine, ni le second ne voulurent croire mon histoire, présumant qu'une longue solitude m'avait fait perdre la raison ...
Mes enfants sont bien traités en Espagne. ils pourraient encore y rester pendant deux ou trois années...
Messieurs, le traité sera rompu...
Et nous menacerons encore Charles Quint, qui a eu le tort de me libérer avant de prendre la Bourgogne.
- Quelqu'un capable de faire mieux que l'explorateur Verrazano ?
- Oui...
- Et comment se nomme ce prodigue, capable de nous donner ainsi avantage face aux Portugais et de me soulager quelque peu de mes hantises du Milanais ?
- Cartier, Sire. Il se nomme Jacques Cartier...
Pavie, 24 février 1525. Sixième Guerre d'Italie. La réalité rattrape les volontés d'un roi.
Ordonner les choses de puissance absolue, c'est comme les faire sans raison et à volonté.
- De toutes parts lors dépouillé je fus. Mais défendre ni servit ni refus, et la manche de moi tant estimée, par lourde main fut toute dépecée. Las ! Quel regret en mon cœur fut bouté...
- Votre écriture s'est encore bonifiée, Sire.
Après l’échec de tous les moyens de défense, nos ennemis ont été tués par les plus infimes créatures terrestres. Tués par les bacilles des contagions et des putréfactions, contre lesquels leurs systèmes n’étaient pas préparés… Quelle ironie…
Melle Clerval : Nous pourrions utiliser Wiggins comme estafette...
Colonel Moran (truand) : Je surveille de très près le petit, car il renseignait déjà Sherlock Holmes auparavant. Je ne voudrais pas qu'il s'égare à nouveau... Mais il semble vous apprécier, alors je suis d'accord sur le principe.