Marquis de Sade a toujours été un groupe intimidant. Il était finalement plus simple de se raccrocher aux émanations de celui-ci après sa dissolution, Marc Seberg dès leur second album ou Octobre : leurs répertoires respectifs étaient moins âpres, plus aimables pourrait-on dire. Mais la trace laissée était indélébile. On en parlait comme de notre Velvet à nous.