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Regarder l'océan de Dominique A
Quand je pense à une mort idéale, je m'imagine sur un banc face à l'océan, ou derrière la vitre d'un bar en bord de mer. Seul.
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Regarder l'océan de Dominique A
Quand je pense à une mort idéale, je m'imagine sur un banc face à l'océan, ou derrière la vitre d'un bar en bord de mer. Seul.
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De l'aube à l'aube : Alain Bashung de Dominique A
Je n'ai pas toujours fait du rock n'roll, jai commencé en fait avec des doutes terribles... J'avais signé un contrat et il fallait enrgistrer un disque, c'était encore le stade où on foutait un mec derrière un micro et c'était terrifiant ce qui fait que j'ai commencé presque comme un crooner. Je ne dédaigne pas les crooners mais je n'étais pas tout à fait crooner non plus, j'ai donc fait quelques trucs qui ne me ressemblaient pas.
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Dominique A : Textes illustrés de Dominique A
"Jean-Philippe Peyraud : Les hauts quartiers de peine La raison de votre choix ? Dés la première écoute, Les hauts quartiers de peine est devenu une des dix chansons françaises incontournables de ma discothèque. C’est quasi inexplicable, comme un coup de foudre. Lorsque le projet d’illustrer les chansons de Dominique A s’est mis en place, il était tout à fait impensable que je choisisse un autre morceau. Même si, au final, je suis resté trop « illustratif ». Sûrement parce qu’il évoque chez moi des choses très personnelles. Le spleen, la mélancolie, quelque soit le nom qu’on lui donne, est une émotion difficile à traduire en dessin- encore pire en bande dessinée !-. En disant ça, je me rends compte que Les hauts quartiers de peine est peut-être une sorte de » modèle étalon « musical à mon travail en bande dessinée. Un peu comme peuvent l’être les nouvelles de Raymond Carver en littérature ou le cinéma de Claude Sautet. Quel lien peut-on faire entre votre travail et celui de Dominique A ? Ouch ! Je suis bien incapable de répondre à cette question. Une certaine fragilité et la stylisation, peut-être ? Quelle est votre couverture préférée de sa discographie et pour quelle raison ? Remué. Mes premiers émois discographiques (les années 80) ont également été graphiques, avec les pochettes de Peter Saville, par exemple. J’ai beaucoup de mal avec cette vieille habitude française de mettre la tronche de l’artiste sur la pochette. Si vous l'avez déjà vu en live, racontez nous votre premier concert de Dominique A. En 1995 au Théâtre de la Ville à Paris. Sûrement un de mes premiers concerts assis ! J’y ai compris qu’une nouvelle génération avait enfin réussi le lien entre chanson française et rock. Le set était composé en deux parties, la première avec un groupe et la suivante où Dominique A était seul en scène. La densité d’énergie et d’émotion lors de cette soirée était telle que j’en ai encore des frissons en y repensant. Aucune captation ne peut rendre ça. Et c’est tant mieux. Cerise sur le gâteau, à la fin du concert le public s’est vu offrir un single de Le twenty two bar." http://www.commentcertainsvivent.com/actualite/textes-illustres/page-7 + Lire la suite |
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De l'aube à l'aube : Alain Bashung de Dominique A
Beaucoup de gens ne goûtent pas à cette liberté qu'on leur donne, elle les rebute. Ils veulent qu'on les prenne par la main, qu'on leur dise où s'asseoir. Avec Bashung, c'était placement libre. (Préface de Dominique A)
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Ma vie en morceaux de Dominique A
Qu'avais-je voulu dire? La question revenait sans cesse. Que répondre, sinon : "Rien" ? Mais c'était un peu sec. Alors je répondais: "Je ne sais plus", ce qui n'arrangeait pas davantage mes affaires. Comme disait David Lynch, les gens veulent des explications à tout, mais acceptent très bien que leur vie ressemble à n'importe quoi.
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Y revenir de Dominique A
Si j’ai tant de mal à couper mes liens avec Provins, ça n’est probablement ni par fidélité à l’enfance, ni par besoin de déchiffrer le passé: c’est que la ville et moi nous comprenons bien, nous reflétons l’un l’autre. Nous sommes assortis, unis pour la vie par une même mélancolie âcre et agressive, un même goût de la poussière et du marécage, de ce qui recouvre et englue, chacun à l’abri derrière sa forteresse, guettant l’ennemi depuis les meurtrières, portant sur la plaine le même regard d’envie et d’inquiétude face à tout ce qui peut en surgir, toute nouveauté susceptible de bouleverser l’ordre des choses.
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Un bon chanteur mort de Dominique A
Je prends les idées comme des chances qui me sont données d’aller à la rencontre d’une histoire ou d’une atmosphère que je ne connais pas encore, et de me fier à mon intuition au moment de faire des choix : le meilleur choix possible étant de prendre le chemin le moins dégagé, souvent celui qui nous engagera le plus à voir ailleurs. C’est là qu’il faudra aller. Quel intérêt de savoir à l’avance où on va ? On le sait déjà, va, où l’on va. |
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Y revenir de Dominique A
Ce qui marque le plus une personne, ce ne sont pas tant ses expériences passées que les paysages dans lesquels elle a vécu. (phrase de Kazuo Kamimura citée p.77).
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Regarder l'océan de Dominique A
La rivière est calme à nouveau. Rien ne s’est passé. C’est un endroit pour se convaincre que rien n’arrive : c’est ce que je viens chercher chaque été.
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Y revenir de Dominique A
La peur est mon pays. Peut-on l’écrire au titre du lieu de naissance sur la carte d’identité ?
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Tout le monde connait la célèbre série de livres d'aventures du "Club des Cinq", formé de quatre enfants - François, Mick, Claude, Annie - et d'un chien . mais comment s'appelle ce chien ?