E411

Toujours aussi taquin et mignon, Schumi, avec humour nous sensibilise sur les problèmes des handicapés. dans ce deuxième tome, on va rencontrer un nouvel ennemi : les escaliers !

Drôle et touchant, une jolie manière d'aborder le handicap avec humour, sans lourdeurs

Camille, ado parisienne, part vivre en Belgique. Des anecdotes qui font sourire, une petite sensation du déjà vu. Une BD qui se laisse lire.

Trouvé à la bibliothèque ce soir.

Pauvre Camille, elle doit quitter Paaaaaaris pour aller vivre avec son Papa en Belgique, à Liège même!

Oufti!!

Chouette découverte, préface de Pierre Kroll, un hommage assez touchant à Liège et ses merveilles.



Deux trois clichés mais un vrai chouette moment!

L'idée était bonne: nous faire vivre à travers la jeune Camille la découverte de la vie en Belgique.Le tout en se moquant gentiment de nos amis belges au passage. D'ailleurs l'auteur prévient dès le début: " Vous êtes Français ? Moquez-vous de nous avec Camille. C'est connu, on n'est pas susceptible."



Dommage que le filon n'est pas été assez bien exploité à mon goût. Par exemple on y trouve plusieurs expressions belges, mais sans que la signification y soit expliquée... du coup je me suis sentie frustrée de ne pas pouvoir tout comprendre :/



Les dessins m'ont bien plu, ils m'ont un peu rappelé l'univers de Zep avec Titeuf.



L'histoire en elle même est pas trop mal et certaines répliques sont franchement drôles, mais il m'a manqué un petit quelque chose pour pouvoir dire que j'ai apprécié !

Camille arrive déménage à Liège. elle vient de Paris ...

Pleine de craintes et de stéréotypes elle se frotte à la vie en Belgique.

Kroll compare l'album à un bon vieux Boule et Bill

je ne peux qu'être d'accord.

agréable à lire, léger et de chouettes références à ce qu'on aime dans la Belgique et ses compromis

Maître Corbaque est une avocate procédurière qui « racole » (le mot n’est pas exagéré) ses clients potentiels de toutes les manières, dans toutes les circonstances. Elle saisit n’importe quel motif pour intenter un procès, assignant pour obtenir des sommes colossales (des millions) pour ses clients (sommes sur lesquelles elle prend « une petite » commission de 50% « parce qu’il faut bien vivre »!).



C’est une justice absolument invraisemblable, c’est pour ça que ça fait rire. Il y a de bonnes scènes. Pour le réalisme on repassera, c’est le système juridique américain qui a largement inspiré ses auteurs. Notamment le fameux « racolage » des clients.



On passe un bon moment en compagnie de cette avocate à la mauvaise foi tonitruante.
Lien : http://chroniqueslitteraires..

Sébastien Macaire est un nouvel élève de l’école Henri Dès. Petite particularité, ce jeune garçon souffre d’un handicap moteur l’obligeant à utiliser en permanence un fauteuil roulant électrique. D’où son surnom de Schumacher, Schumi pour les intimes. Ses premiers contacts avec ses nouveaux camarades sont contrastés. Si tout se passe bien avec le rasta Hamilton ou les sœurs jumelles Duplicata, il n’en n’est pas de même avec Guntmar, l’abruti de service qui, non content de molester Schumi à la moindre occasion, aime plus que tout se moquer de son handicap. Du coté des professeurs, si la bienveillance (et le physique avantageux !) de la prof de gym donne du baume au cœur, la compassion permanente de l’instit Mr Leroy se révèle à la longue un peu lourdingue. A la maison, la petite sœur Pupuce est à la fois complice et aimante alors que les parents, loin de se désespérer du handicap de leur fils, le traite en enfant comme les autres.



Voila un album pour jeunes lecteurs (à partir de 8 ans) qui aborde sous l’angle de l’humour une thématique inhabituelle. Un sujet sensible (casse-gueule diront certains) traité avec intelligence et sans mièvrerie. Difficile d’imaginer que l’on puisse rire des aventures d’un enfant paraplégique. Et pourtant ! C’est sans doute parce que les auteurs ne tombent jamais dans l’apitoiement que la recette fonctionne. Schumi souhaite être considéré ni plus ni moins qu’un autre : pas de passe-droit où de facilités en raison de sa condition. Chez lui, ses parents l’ont bien compris. Ils lui demandent de faire la vaisselle, de ramasser ses affaires ou de passer l’aspirateur. A l’école, c’est moins évident, surtout quand le prof lui met 10/10 alors qu’il y a trois fautes dans sa dictée, simplement parce que, vu sa situation, il convient d’être magnanime. Tout l’album est traversé par cette évidence : un handicapé moteur peut et doit être traité comme n’importe quel autre enfant.



Cette nouvelle série de gags en une planche porte un regard positif et drôle sur le handicap, sans éluder les questions sensibles. Qui plus est, sur chaque exemplaire vendu, 1€ est reversé à Handicap International. Autant d’arguments qui devraient achever de convaincre les plus sceptiques de l’intérêt de ce titre.
Lien : http://crdp.ac-amiens.fr/cdd..

Maitre Corbaque est une bande dessinée participative, c'est à dire qu'elle a été financée par des internautes.



J'ai eu le plaisir de la découvrir sur le site des Elivres de la SNCF et c'est sa couverture qui a attiré mon regard.



Maitre Corbaque est une avocate d'un style un peu particulier, elle est spécialisée dans le "racolage" de clients à qui elle conseille de porter plainte pour toutes sortes de raisons possibles, impossibles et inimaginables.

Elle intente donc des procès à plein de personnes ou d'entreprises pour ses clients à qui elle obtient souvent des sommes colossales en dédommagement.



Les situations sont absolument folles et aberrantes et du coup elles en deviennent comiques.

Notre avocate bien véreuse n'a pas son pareil pour retourner le jury et le tribunal et obtenir ainsi un dédommagement financier conséquent pour son client sur lequel elle n’oubliera pas de prélever 50 % pour sa propre rémunération.



Voilà c'est immoral, c'est invraisemblable mais on rit énormément.

C'est justement l'exagération des situations et le comique des plaintes qui donnent tout l'humour de cette bande dessinée dont j'attends le deuxième tome avec impatience.


Lien : http://delcyfaro.blogspot.co..

Belge et Liégeoise de surcroît je n'ai malheureusement apprécié cette BD. Je ne me suis pas sentie injuriée loin de là mais les stéréotypes sont tellement énormes, ceux qu'on entend sans arrêt sur nous les Belges, que franchement cette BD n'apporte rien de nouveau. Un peu d'exotisme à nos amis français peut-être. Est-il impossible de résumer la Belgique à autre chose que les frites, nos problèmes linguistiques et politiques...Il n'y a rien d'autres à dire sur nous? Maintenant j'avoue que c'est super sympa de voir Liège en BD.

Si le ton est léger et réussit fort bien à dédramatiser « la vie en fauteuil » et si le personnage de Schumi force la sympathie par sa gentillesse et son innocence, les chutes des histoires présentées restent toutefois assez convenues et laissent parfois le lecteur sur sa faim.
Lien : http://www.actuabd.com/Schum..

Sous l’aspect humoristique, la série a un vrai rôle pour sensibiliser les lecteurs au handicap du héros et plus généralement aux personnes handicapées de notre société.
Lien : http://www.bdencre.com/2012/..

Edwin, sous le pinceau de David Evrard (signé E411) et Falzar, doit jongler entre ses amis, sa petite amie, sa voisine acariâtre et le paternel de la baby-sitter, le tout avec deux tornades dans les pattes : cascades en perspective !
Lien : https://lesamisdelabd.com/de..

Une BD humoristique sur le thème du handicap. Bien faite, malgré l'apparition un peu étrange d'un habitant d'une autre planète pour expliquer l'handicap.

J'adore car c'est le meilleur moyen de nous faire vivre la vie d'un handicapé mais dans un côté humouristique qu'on adore.

C'est donc tout ce qu'un Belge peut dire sur la Belgique...Il n'y avait rien d'autres que ces énormes stéréotypes que l'on connaît? Rien de plus fin?

C'est un flop cette BD. Je ne vais pas m'éterniser dessus, j'ai vraiment détester.

Cette série combine humour et pédagogie, un double sens plein de mérite.
Lien : http://www.bdencre.com/2013/..

Au fil de gags en une page qui tissent une histoire toute simple, mais avec des rebondissements, les auteurs d’Edwin et les twins optent pour une description relativement réaliste du quotidien et des préoccupations d’une adolescente, réussissant ainsi à se défaire des pièges de la BD de blagues communautaires.
Lien : http://www.bodoi.info/plus-b..

Il n'y a pas à se forcer, l'adhésion est immédiate. Une narration fluide et des dialogues savoureux, empreints de jeux de mots facétieux et plutôt fins qui suscitent déjà l'impatience du deuxième volume.
Lien : http://www.actualitte.com/cr..

Un premier album facétieux et un tantinet didactique (complété d'ailleurs par un petit lexique) réalisé par deux auteurs bien inspirés par leur pays de prédilection, la Belgique. A lire par tous !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..